7 juin 2007
4
07
/06
/juin
/2007
20:02
*
ESCOTA ou la politique de la chaise vide ! |
* « ESCO T' AS des nouvelles de « ponkéral » ? |
C'est ainsi que l'on pourrait s'exprimer après avoir eu des nouvelles de Madame Isabelle ESCAPIN, « responsable de la Communication » de l'entreprise ESCOTA ! En effet, les mails et le « travail » de celle-ci sont tellement « abracadabrantesques », que l'on ne pourrait qu'en rire si la situation n'était pas si pénible pour certains habitants de Pontcarral. Voici un florilège des mails que nous avons échangés : * |
From: Direction.communication@escota.net To: gillespilard@hotmail.com CC: Direction.communication@escota.net Subject: Bonsoir Date: Wed, 21 Mar 2007 20:29:47 +0100 Monsieur, Ma collaboratrice m'a dit que vous avez appelé pour signaler que vous avez adressé un mail à Monsieur Daussy et à moi-même concernant une ou des fenêtres, je n'ai pas bien compris, dans une résidence "ponkéral". Je suis désolée de ne pouvoir vous répondre car je n'ai jamais reçu ce mail et en conséquence n'ai pas pu le transmettre à une personne qui pourrait vous éclairer sur votre demande. De plus, je ne peux même pas lui faire suivre le mail que je vous adresse puisque je n'ai pas plus de renseignements et que je ne sais pas dans quelle ville se trouve cette résidence. Je vous remercie donc de bien vouloir nous faire parvenir votre demande. Je veux bien me charger de la faire suivre: notre adresse : direction.communication@escota.net, et si vous voulez, à mon attention : Isabelle Escapin A votre disposition Isabelle Escapin Directeur de la Communication ESCOTA |
gillespilard@hotmail.com Pour : Direction.communication@escota.net Objet : à l'attention d' Isabelle ESCAPIN, de la part de gilles PILARD 21/03/2007 21:37 Bonsoir, le mail a été envoyé le 12 mars 2007, aux adresses ci-dessous, données par un de vos secrétariats, et doivent exister car je n'ai eu aucun mail de retour de non délivrance. Quoiqu'il en soit, la teneur de celui-ci est la suivante : Bonjour, habitant la « résidence » Pontcarral, je ne sais si vous êtes au courant de ce qui se passe au sujet de la rénovation des fenêtres. N'ayant pas eu satisfaction ni même parfois aucun retour, en « remontant » la chaîne des « responsables » ( d'abord Monsieur INNOCENTI, puis Monsieur LAROCHE ), je me tourne vers vous afin que vous puissiez résoudre cette situation, n'espérant pas avoir besoin de remonter plus haut. C'est pour cela qu'ayant personnellement travaillé dans une branche marketing, je pense que Madame ESCAPIN est bien placée en tant que responsable de la communication pour être au fait de l'importance de l'image de marque d'une entreprise. Si vous désirez en savoir plus si vous ne connaissez pas le dossier, je vous invite à aller sur le site Internet : pontcarral.com, et prendre connaissance spécialement des deux articles consacrés à la catégorie ESCOTA. En vous souhaitant bonne réception de ce mail. Gilles PILARD La « résidence » Pontcarral en question, est située à Toulon. Le contrat des travaux de rénovation se monte à plus de 2 000 000 d'euros. Il est vrai qu'en regard des contrats que vous avez dans le Var, ce n'est pas pour vous une grosse somme. Par contre, les dysfonctionnements relatifs à ce chantier ( relations avec certaines entreprises sous-traitantes, « magouilles » ), font que cela pèse sur le bien-être de certains habitants. Je pense que le « poids » de votre entreprise peut permettre de résoudre assez rapidement ce genre de problèmes... si vous en avez la volonté ! En attendant, vous pouvez voir les détails de nos demandes sur pontcarral.com. En vous en souhaitant bonne réception. Gilles PILARD |
De : Direction.communication@escota.net> Envoyé : jeudi 22 mars 2007 09:14:26 À : "Gilles PILARD" gillespilard@hotmail.com Objet : Réf. : à l'attention d' Isabelle ESCAPIN, de la part de gilles PILARD Monsieur, Nous avons bien reçu votre mail. Mme ESCAPIN est en déplacement aujourd'hui. Elle en prendra connaissance demain et ne manquera pas de vous apporter une réponse. Sincères salutations. LE SECRETARIAT |
Envoyé : vendredi 23 mars 2007 19:01:38 À : "Gilles PILARD" <gillespilard@hotmail.com> Objet : Réf. : à l'attention d' Isabelle ESCAPIN, de la part de gilles PILARD Bonsoir Monsieur, Je suis désolée mais l'adresse mail à laquelle vous m'aviez écrit est erronnée Quoiqu'il en soit, je transmets votre courrier au service concerné Bonne soirée Isabelle Escapin |
A la suite de ces manques, j'ai reçu fin avril, une lettre signée conjointement de SYCOLOGE et d'ESCOTA ... pardon, petite précision : de Messieurs MAITRE ET LAROCHE. En a suivi le courrier suivant que j'ai envoyé à la direction régionale : |
|
Toulon, le 02 mai 2007 Monsieur, J’ai reçu dans une enveloppe comportant le logo d’ESCOTA, le courrier suivant : |
Nonobstant le fait que ce courrier ne porte pas l’entête d’ ESCOTA, je pense néanmoins que vous le confirmez !? ESCOTA en tant que mandataire de l’état, a une mission de service public de protection sonore, due à l’exploitation d’un autre service public, les autoroutes. C’est pourquoi, je tiens à revenir sur quelques points : 1°) Comme vous le faites remarquer, le Syndic Sycologe assurait les fonctions de maître d’ouvrage … délégué. Pourrions nous savoir ce qu’il advint de Monsieur NADEAU à qui incombait les fonctions de maître d’ouvrage ? 2°) Les dysfonctionnements ( allèges vitrées, manivelles, etc… ), n’ont pas été relevés par le nouveau Conseil Syndical, mais par l’association COPROLOC dont je suis le Président. Relevés d’une part verbalement, et d’autre part, par un courrier envoyé – entre autres destinataires – à vos services. Le courrier en question concernait aussi d’autres problèmes, concernant les malfaçons de la pose des dites fenêtres, dont les défauts déjà constatés ne s’arrangeront pas avec le temps. 3°) L’appartement de l’association cultuelle et culturelle de Pontcarral ( et non pas comme vous le dites « de la copropriété » ), dont le président est pour information … le même que celui du Conseil Syndical, a une utilisation spécifique ? Pourquoi alors n’avoir pris en compte ma « demande spécifique » dans le courrier que j’ai fait il y a quelques mois.* Je suis certain que vous aurez la possibilité de me remettre la copie de la demande des travaux spécifiques et les papiers de délibération afin d’obtenir cette dérogation exceptionnelle. Antidatés ou pas, dans les deux cas, ils me seront utiles. Car selon la réglementation il y a en l’occurrence rupture de l’égalité, et de par-là de la légalité, et il s’agit d’excès de pouvoir. *Courrier que vous retrouverez en ligne sur le blog www.pontcarral.com , dans la catégorie ESCOTA. Je n’ai pas encore mis tous les mails de votre entreprise en ligne, ( notamment ceux de Madame Isabelle Escapin « responsable » communication, qui valent leur pesant de cacahuètes ), évitant - pour l’instant - d’ajouter le grotesque à l’incompétence de certains, tant que cette situation ne soit pas réglée à l’amiable. Mais ma patience a des limites. 4°) Pour ce qui est des travaux, je ne les refuse pas tant qu’ils seront conformes à « ma demande spécifique ». Pour information, certaines de mes associations sont domiciliées à mon adresse, et j’accueille aussi du public ; mais il est vrai que je n’ai pas les mêmes ( comment dire sans être graveleux et faire dans l’ euphémisme ) « rapports » avec SYCOLOGE que le Conseil Syndical. 5°) Enfin, le fait que le courrier reçu porte les signatures de Monsieur MAÎTRE et de Monsieur LAROCHE, je prends ce courrier comme un front commun de SYCOLOGE et d’ESCOTA. Ce qui me facilitera la tâche, si par la suite, il me fallait porter certaines actions devant les tribunaux, entre autres le tribunal administratif qui, je ne vous l’apprendrai pas, a déjà fait ses preuves. Je précise que ma démarche, et celle d’une minorité, est une démarche motivée par le fait qu’il n’y a pas à avoir ni magouilles, ni copinages, ni passe-droits ; mais à partir du moment que certains droits sont valables pour les uns, ils le sont pour les autres. Etant selon la formule consacrée de « la vieille école », je me bats pour des principes, et cela, quel qu’en soit le prix à payer. Si vous visitez mon blog, cité plus haut, vous comprendrez sûrement mon état d’esprit. En espérant une réponse favorable de votre part qui mettrait fin à ce conflit, recevez, Monsieur le Directeur, l’expression de mes salutations distinguées. Gilles PILARD |
Depuis plus d’un mois, aucune réponse. Adresses erronées, renvois « aux services concernés » ( apparemment celui de Monsieur LAROCHE ) incapacité de dialogue, mépris des chantiers de par la non-connaissance des dossiers : une chose est sûre, et je lance un avis aux chômeurs qui cherchent un emploi ( de quelque formation qu’ils aient ), il peuvent envoyer un C.V. pour une place de directeur de communication à ESCOTA. Il leur suffit d’avoir un tant soit peu d’initiatives et de prise de responsabilités. |
Bon hé bien c’est pas le tout hein , le combat continue ! |