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16 janvier 2007 2 16 /01 /janvier /2007 19:34
  
Les mômes de la guerre
n’ont rien connu d’autre que l’enfer.
Ils ne peuvent choisir d’autre idéal
que celui que leur a imposé leur imam.
 
Quand ils sont nés,
il était déjà trop tard
pour choisir leur destinée;
la couleur de leur soleil, plus tard.
 
Les mômes de la guerre
arrachés à leurs mères,
ont dans la main une Kalachnikov
et dans l’autre, un cocktail Molotov.
 
Les mômes de la guerre désemparés
n’ont plus le droit de pleurer.
Il leur faut avancer
pour ne pas être jugés.
 
Morts d’un coup de baïonnette dans le flanc
dans une tranchée en Iran,
ils remplacent les vieux cons
qui ne veulent pas payer l’addition.
 
Morts, déchiquetés par une grenade mal lancée,
au Chili un soir d’été,
ils remplacent ceux qui par lâcheté
ne veulent pas assumer leurs idées.
 
Car c’est moins dur pour les dirigeants
dans une réception de se gaver,
que d’entendre le cri d’un enfant mourant
dans la fureur d’une bataille de tranchée.
  
Les mômes de la guerre
pleurent de joie devant un jouet abîmé
que leur tend leur père
avec un sourire attristé.
 
En occident, il y a les mômes de la paix
qui regardent Dallas et Druker à la télé.
Ils croient que « tout le monde il est beau »
parce que leur papa content, regarde Collaro.
 
Les mômes de la paix
regardent Rambo à la télé,
et continuent de rêver béatement
à l’invincibilité de leurs parents.
 
Je pleure sur les mômes de la guerre
que le fanatisme et la peur rend solitaires.
Je pleure sur les enfants de la paix
que l’inconscience dans l’abondance va anesthésier.
 
Je ne veux pas apprendre à mon enfant,
que tout le monde il est bon
où que tout le monde il est méchant,
et que la démo-crassie est la seule solution.
 
Des hommes, je veux lui apprendre la force et la beauté,
mais aussi lui montrer leurs faiblesses et leurs lâchetés.
Je ne veux pas le voir s’enflammer
pour des marchands d’intérêts.
 
De la vie, je veux lui apprendre la nécessité du combat,
la foi d’un idéal, sans l’embrigader toutefois,
car je ne veux pas que le regard de sa mère
se pose un jour sur un môme de la guerre.
  
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16 janvier 2007 2 16 /01 /janvier /2007 19:33
As-tu déjà pleuré sur une chanson de Jacques BREL ?
As-tu déjà vu les larmes de bonheur d'une mère prenant dans ses bras son enfant qui vient de naître ?
As-tu déjà pris le temps de t'asseoir aux abords d'une plage de Normandie, pour sentir le vent et les embruns te fouetter le visage, voir la mer se fracasser sur les rochers et écouter les vagues faire rouler les galets ?
As-tu déjà vu la môme PIAF tendre les mains en une offrande de sa vie ?
As-tu déjà lu un livre de Yukio MISHIMA ou, goûté comme un fruit, un des robaïyat d’Omar KHAYYAM ?
As-tu déjà senti sur toi le souffle de la mort ?
As-tu déjà ressenti ce mélange de beauté, de force et de simplicité des chansons de William SHELLER ?
As-tu déjà vu le visage farouche de Che GUEVARRA, incarnation de la pureté révolutionnaire ?
As-tu déjà vu mourir un camarade sans pouvoir le retenir ?
As-tu déjà tendu le bras vers le soleil comme pour y puiser des forces pour un combat ?
As-tu déjà vu une jeune femme arabe s'arrêter de marcher, fermer les yeux, et chalouper des hanches; retrouver ses racines au son d'une musique envoûtante ?
As-tu déjà remarqué la profondeur du regard rempli de nostalgie de Pierre DRIEU-LA-ROCHELLE, où se lit la détermination de son idéal ?
As-tu déjà veillé‚ aux feux de camp du solstice d'été ?
As-tu déjà ressenti comme une chaleur dans ton ventre, instant de désir d'une première rencontre ?
As-tu déjà vu la sérénité d'un visage qui vient de s'abandonner dans la jouissance d'un acte d'amour ?
As-tu déjà vu le regard d'un asiatique s'étonner, s'extasier, et s'illuminer d'un sourire devant les jeux d'un enfant ?
As-tu déjà lu l'épopée fabuleuse du "baron fou" Ungern-Von- Sternberg, "La nuit des temps" et "Le petit prince" ?
  
Si tu as vu tout cela ami, et bien d'autres choses aussi fortes, alors il ne te restera plus à n'attendre de la vie, que le néant de la mort, avec sérénité.
  
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16 janvier 2007 2 16 /01 /janvier /2007 19:33
 
Des territoires occupés
un peuple s'est levé
ne voulant pas se faire submerger
par des colons aux dents acérées.
 
Coiffé d'un keffieh, les pieds nus,
l'enfant s'avance au milieu des ses frères;
visages déformés par la tristesse et la colère,
tous orphelins de la paix qu'ils n'ont jamais connue.
 
Ces cailloux aux creux de leurs mains,
jetés comme à la foire sur des pantins,
c'est des morceaux de leur terre qu'ils tiennent;
armes dérisoires face aux balles israéliennes.
 
De nos jours, David a changé de camp
et Goliath est juif à présent.
C'est toi maintenant petit palestinien,
qui serre l'espoir dans ta main.
 
Aujourd'hui, depuis l'intifada, le soulèvement,
sont morts prés de mille adolescents,
avec dans les yeux la volonté et l'espoir en demain,
de pouvoir libérer leur sol du joug israélien.
 
Tu vivras Palestine, tant qu'il y aura des hommes comme tes enfants;
mais est-ce bien utile de les envoyer si jeunes verser leur sang
face à ces nouveaux tortionnaires qui n'ont rien à envier
à leurs anciens bourreaux nazis, après les avoir tant décriés.
 
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16 janvier 2007 2 16 /01 /janvier /2007 19:32
1989 sera-t-elle l'année de tous les fanatismes?
 
Au moyen-âge, on brûlait les livres et les soi-disant hérétiques au nom de l'amour de Dieu.
A la révolution, on massacrait des prêtres au nom de la liberté.
Sous HITLER, on brûlait les livres et on déportait au nom de la race.
 
Autres temps, autres moeurs?
Mais non. Voici que cette année, c'est reparti sur les chapeaux de roues.
 
D'un coté, des cinémas qui brûlent pour avoir passé un film soi-disant provocateur -( tiens, quand j'étais petit, le curé me disait pourtant que sur terre, Jésus s'était fait homme )- et de l'autre, -( décidément le feu doit vraiment avoir des valeurs purificatrices )- on brûle le livre de Salman RUSHDIE ... c'est la course à la bêtise. Aujourd'hui encore les fanatiques religieux lancent de anathèmes à tout va envers ceux qui ne croient pas en leur dieu, comme des petits fonctionnaires zélés voulant faire plaisir à leurs supérieurs. Nouvelles inquisitions.
Au nom de quel dieu dit "d'amour" se permet-on de tels excès?
S'il est vrai que celui-ci a fait l'homme à son image, il n'y a pas de quoi être pressé de le rencontrer.
Les religions monothéistes ne sont toujours venues à bout des religions polythéistes ( pourtant bien plus avancées: Celtes, Incas ... ) que par la violence et la destruction.
Les religions monothéistes ont inculqué aux hommes la honte du corps ou la peur de la mort. Parfois les deux. Deux choses qui sont naturelles dans les religions polythéistes.
Si l'homme n'a plus de fierté, et ne croit plus en son destin, alors il ne peut pas respecter ses semblables. Il n'est plus qu'un animal aux abois. Depuis quelques siècles, les hommes se courbent devant un dieu avec soumission, au lieu de vivre avec, de l'avoir en soi.
Si les hommes étaient en parfaite harmonie avec eux-mêmes, ils pourraient l'être aussi avec le surnaturel. Mais en règle générale, ce n'est pas le cas. L' être humain a perdu de son mysticisme ...
Alors, au lieu d'imposer "la civilisation et le progrès" et de donner des leçons aux  peuples soi-disant sous-développés (comme actuellement les indiens d'Amazonie auprès desquels nous ferions mieux de prendre des exemples sur le plan de la justice et du social), les peuples dits civilisés feraient mieux de balayer devant leurs portes et leurs terrains de football; car là-aussi, on a vu que les débordements de fanatisme, d'intolérance et de bêtise étaient nombreux.
 
C'est devant de tels états de faits, de haine et d'intolérance que je crois que de manière générale, l'homme en a oublié d'être lui-même.
 
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16 janvier 2007 2 16 /01 /janvier /2007 19:32
Honte à toi, garce de république ! Regarde tes fils se déchirer en ton nom sous la vieille couverture mitée des droits de l'homme dont tu te sers de manteau depuis deux cents ans. Tu me faits vomir avec ta cohorte de politiciens véreux, ces charognards du peuple.
Regarde-les, tes fils socialo-libéraux se crêper le chignon à cause d'un voile.
Regarde-les se ... dévoiler ; zieutes-moi ces visages de faux-derches; ils veulent se permettre d'interdire le port du voile maintenant ?
 
Hé, rêvez pas, assurez !
Vous les avez déjà oubliés vos droits de l'homme ?
Rappelez-vous :
 
DECLARATION DU 26 AOUT 1789.
       Article 4 :
 
" La liberté consiste à pouvoir faire tout ce qui ne nuit pas à autrui ... "
 
       Article 10 :
 
" Nul ne doit être inquiété pour ses opinions, même religieuses ... "
 
DECLARATION UNIVERSELLE DU 10 DECEMBRE 1948.
       Article 18 :
 
" Toute personne a le droit à la liberté de pensée, de conscience et de religion ou de conviction ainsi que la liberté de manifester sa religion ou sa conviction, seule ou en commun, tant en public qu'en privé, par l'enseignement, les pratiques, le culte et l'accomplissement des rites."
 
       Article 26 :
 
1°) " Toute personne a droit à l'éducation ... "
  
3°) " Les parents ont, par priorité, le droit de choisir le genre d'éducation à donner à leurs enfants."
 
Hein, çà vous dit rien ? Hé mais c'est pas tout !
Attendez. Je vais vous remettre le nez dans votre caca.
Allez c'est reparti :
 
CONSTITUTION DU 27 OCTOBRE 1946.
 
" La nation assure à l'individu et à la famille les conditions nécessaires à leur développement."
 
" Tout être humain qui, en raison de son âge, de son état physique ou mental, de la situation économique, se trouve dans l'incapacité de travailler à le droit d'obtenir de la collectivité des moyens convenables d'existence."
 
Allez dire çà aux mères de famille qui sont obligées de travailler, aux victimes d'accidents de toutes sortes, à tous ceux qui font la queue aux restaus du coeur.    On continue ?
 
Article 23 DU 10 DECEMBRE 1948 :
 
1°) " Toute personne a droit au travail, au libre choix de son travail, à des conditions équitables et satisfaisantes de travail et à la protection contre le chômage "
 
Ah oui? Il vont être contents de l'apprendre, ces 2,5 millions de chômeurs dans un pays qui ne fait pas d'efforts en matière de créations d'emploi ( sous quelque gouvernement que ce soi ), et qui, par fins de droits, T.U.C., S.I.V.P., et autres façades, font baisser artificiellement le nombre des demandeurs d'emploi.
 
Enfin, dans ce même article 23:
 
3°) " Quiconque travaille a droit à une rémunération équitable et satisfaisante ... "
Ca va aussi faire plaisir aux travailleurs de chez PEUGEOT, dont le P.D.G. Mr CALVET gagne en un mois de quoi faire vivre deux familles pendant toute une année.
 
Ben alors Marianne ? Fais pas la gueule. Cette déclaration des droits de l'homme que tu trimballes depuis 200 ans et que tu as imposée à des peuples qui n'avaient pas la même culture que toi, va falloir l'assumer ... 
Ah ! tu viens de t'apercevoir que ce n'est qu'une fumisterie, une vieille dépouille, un vulgaire cadavre que tu traînais derrière toi et qui n'a servi qu'à nourrir les pseudo-démocrates jusqu'à là ? Ils s'en sont repus, et l'indigestion à commencé avec " l'affaire du tchador. "
 
Alors quoi ? On accepte les autres peuples et il faudrait qu'ils laissent leurs cultures et leurs traditions au vestiaire ? Pourquoi ? Du moment qu'ils ne nous les imposent pas; enfin, pas encore !
 
Hé oui Marianne, tes fils ont joué à l'apprenti-sorcier et maintenant ils se disputent la baguette magique des droits de l'homme. Ils veulent le " beur ", l'argent du beurre mais pas sa saveur; il a le goût de leur défaite.
 
Capitalistes exploiteurs et communistes profiteurs, copains-coquins d'hier et de demain, vous en aviez besoin des immigrés non ? Alors ne venez pas vous plaindre, ne venez pas cracher dans la soupe par politiciens interposés.
Quand au peuple, il devrait vous laisser vous démerder avec; ce peuple que vous avez abandonné au profit de matérialismes économico-dialectiques. Seulement il n'ose pas se révolter ce peuple tant vous lui avez mis de barrières parlementaires entre lui et vous. Il n'en a pas encore conscience, il n'a pas encore assez morflé.   Mais patience ...
 
Pour l'instant, on ne peut que constater que ces bâtards de la démo-crassie que sont les politiciens, à force de profiter des droits qu'ils se sont octroyés, en ont oublié qu'avant tout, l'homme envers l'homme devrait aussi avoir ... des DEVOIRS.
  
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16 janvier 2007 2 16 /01 /janvier /2007 19:32
 
Mes ancêtres vikings, appelés Varègues,
après avoir unifié l'empire Rus et fondé Kiev,
descendirent vers le sud où les peuples arabisants
du nom de « madjous » surnommèrent les nouveaux arrivants ;
ils chantèrent l'orient aux dunes enflammées,
ils contèrent l'orient aux mille visages enjoués.
Tandis que le nécronomicon d'Abdul al-Hazred
continue de faire des ravages,
traversant les âges tel la gangrène
dans les cerveaux instables,
je rêve de la merveilleuse Ispahan
joyau de la Perse, actuel Iran,
prise et reprise au fil des ans
par les Seldjoukides, Gengis Khan et Tamerlan.
De la forteresse d'Alamout, j'entends une voix,
qui en traverse les murs ;
celle du maître des lieux Hassan-ibn-Sabbah,
comme un glacé murmure.
Elle s'envole cette voix, de roche en roche,
vers l'orient tout proche.
Porte-t-elle la terreur que souvent elle réclame,
ou va-t-elle faire quérir le poète Khayyâm ?
Amin Maalouf dans Samarkand nous l'a décrit ;
l'amitié de ces hommes là, aux yeux du monde surprit.
Car en ce temps là, Omar Khayyâm,
astronome mathématicien et philosophe,
amoureux de la belle poétesse Djahane,
officiait au palais du vizir Nizam-el-Molk.
Disciple d'Avicenne, ledit Omar de Nichapour
dont les robaïyat glorifiaient la mort et le vin,
louaient les femmes et chantaient l'amour,
stimulera de son génie nombre de nos contemporains.
Mon imagination poursuit sa route aux quatre vents.
Ici, les jardins suspendus de Babylone, balayés par le temps ;
là, une place forte : Massada ; et ses combattants zélotes suicidés,
afin d'escamoter la victoire à une Rome tant redoutée.
Non loin de la mythique Samarkand, de notre temps,
proche de Kaboul, Ahmed Shah Massoud l'Afghan,
est l'unique rempart contre l'intolérance des talibans ;
dont seule la destruction des monuments, scandalise l'occident.
Mon esprit s'envole, virevolte de La Mecque à Damas la sublime,
suivant les caravanes chargées de pains de sel, de khôl et de tabac ;
mon esprit vagabonde des gorges de Pétra, au port d'Akaba
que les combats de Lawrence illumine.
Thomas Edward Lawrence, dont restera gravé le nom,
entre l'Europe et l'Orient comme un trait d'union.
Mes pensées s'envolent vers la proche Palestine,
terre d'espoir pour les feddayin ;
peuple spolié, à jamais meurtri,
dont la liberté n'a pas de prix.
Et pour Jérusalem aux quatre points écartelée
entre musulmans, arméniens,
juifs et chrétiens lacérée,
quel en sera le destin ?
Evoquant le rassembleur Nasser
qui se riait de la France et de l'Angleterre,
près de nous les citoyens de Libye
chantent la gloire de Muammar al-Kadhafi.
De la légendaire Alexandrie
jusqu'aux pyramides alanguies,
un jour, de l'Egypte profonde, s'éleva une voix ;
celle d'Oum Kalsoum qui retentira
des rues ombragées de la casbah,
à la mythique scène de l'Olympia.
Maintenant, Natacha Atlas de ses mélodies,
dont les couplets enflamment les coeurs,
fait briller les yeux de mes petites soeurs,
et embelli à présent, les soirées de mes amies.
De nos jours, Alger la blanche bien qu'ensoleillée,
de nouveau tachée de sang, impose à mon esprit
le souvenir de ses enfants harkis
par la France honteusement abandonnés.
Et depuis longtemps, une indo-européenne opprimée,
acculée au désespoir sous la coupe d'un pouvoir despotique,
toute proche de nous, notre petite cousine Kabyle, broyée,
se battant pour se libérer du joug de ce gouvernement autocratique,
retrouve aujourd'hui ses racines et relève la tête, fière,
grâce au message de Lounès Matoub le berbère.
Du Niger, au fond des douars,
aux mille oasis espérées du Hoggar,
prendre le thé sous la tente des « hommes bleus » ;
retrouver Mano Dayak dans leurs souvenirs heureux.
Du désert des touaregs Iforas, aux confins de Bahreïn et ses pêcheurs de perles,
des étudiants de Tunis et de Rabat, aux militants d'Ait Akmed,
à travers les dunes et les oasis, souffle un vent de liberté.
Certains pays du monde arabe sont en marche, sur la route de l'espoir et de l'unité.
Car, comme certains de nos camarades qui de l'Europe en espèrent l'union,
beaucoup de partisans du panarabisme attendent aussi une impulsion.
Cette impulsion qui stimulera les relations entre nos nations.
Mais, n'ai-je pas déjà nommé le probable artisan de cette réunification ?
 
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16 janvier 2007 2 16 /01 /janvier /2007 19:31
  
Ils ont créé un dieu
Et l’ont appelé Yahvé.
D’autres sont venus
l’ont récupéré
et l’ont appelé Dieu.
Puis d’autres encore
le refaçonnèrent,
l’appelant Allah.
Et tous,
réunissant pêle-mêle
Abraham et Jésus,
Gabriel et Marie
en passant par les anges,
tous firent leur cuisine
chacun de leur côté.
Tous, de leurs bouches polluées
de mensonges et de contre-vérités
de leurs mains souillées
d’apocryphes versets,
déclarèrent leurs dieux,
- qui était le seul,
le même d’ailleurs -
dieu d’amour.
Et au nom de ce même dieu
heureusement dit d’amour,
les uns les autres
massacrèrent allégrement,
à coups de guerres de religion,
d’abord mes anciens,
exterminant Celtes et Saxons,
jusqu’aux Incas, tous païens.
Et quand ils pensèrent
qu’il n’en restait plus rien,
ils s’étripèrent entre-eux.
 
Depuis longtemps il est trop tard
pour nos dieux du brouillard
de la joie et des combats
du soleil et des bois.
Car cela fait déjà
plus de mille ans que cela dure ;
et si leur dieu d’amour
rime avec toujours,
cela encore nous promet
une belle merde d’éternité.
 
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11 janvier 2007 4 11 /01 /janvier /2007 00:13
Dans cette première partie, ( les photos sont en deuxième partie ) vous trouverez l’historique des problèmes relatifs à la situation de Pontcarral, notamment le dossier envoyé en juin 2005 afin d’alerter les « pouvoirs publics » de l’état de ce qui a pour dénomination : « résidence ».
 
Cette « résidence » a été « gérée »
par le Cabinet SYCOLOGE pendant des années,
et aussi mal « gérée » à présent (2010)
par le cabinet BRITSCH-SIRI IMMOBILIER
 
« Résidence » pour laquelle certains d’entre-nous payons jusqu’à plus de 1500 euros de charges  par an !
 
Depuis, la situation n’a que peu évolué, et vous constaterez pourquoi en vous reportant aux différents courriers, constats des conseils syndicaux et « actualités » que je mettrait en ligne dans les semaines à venir.

 

Mesdames, Messieurs,
 
La situation de la résidence Pontcarral à TOULON dans le Var, étant de plus en plus catastrophique, vous trouverez ci-joint un dossier constitué de différentes pièces, qui n'est hélas que la partie immergée de l'iceberg des désagréments rencontrés. C'est pourquoi, à la réception de ce dossier, les pouvoirs publics ne pourront plus dire : « Nous ne savions pas », s'il arrive quoi que ce soit dans l'avenir dans cette pseudo-résidence quant aux drames futurs qui pourront découler du manque d'hygiène, des dégradations, et des tensions de voisinage découlant des problèmes dénoncés depuis des années.
Pour information, la résidence a été déclarée en 1999 en contrat de ville, et en lieu de vie depuis deux ans. Depuis, que sont devenues les subventions des travaux prévus ? à qui profitent-elles ?
 
Vous trouverez ci-joint :
 
*( pages 1 & 2 ) L'appel aux habitants de 2001.
*( page 3 ) Fac-similé des articles de Var-matin du 5 novembre 2001.
*( pages 4 & 5 ) Une pétition faite en décembre 2003 par monsieur KADDOURI concernant le nettoyage de la colonne A / B du bâtiment 2.
*( pages 6 à 53 ) Des photos de la résidence témoignant de l'encombrement des couloirs, coursives et escaliers par des poubelles, matériel et objets divers, scooters ; de la dégradation des murs par des tags ; des parties communes souillées de cafards, d'urine et d'excréments de chiens ; de projections de poubelles et de détritus par les étages, des fils dénudés et des rampes d'escaliers cassées qui sont source de dangers permanents... etc. à noter que des barres de fer lancées dans un arbre, risquent d'un moment à l'autre de tomber sur des passants : autorités prévenues le samedi 04 juin à 20 h 00... à ce jour le 14, encore rien de fait.
*( pages 54 à 68 ) Une pétition faite en mai 2005 par monsieur PILARD, dénonçant l'incapacité de gestion de l'agence Sycologe.( 235 signatures recueillies auprès des habitants par messieurs PILARD et KADDOURI ).
*( pages 69 à 77 ) Différents courriers de monsieur PILARD faits au conseil syndical et au syndic Sycologe dénonçant à plusieurs reprises différents problèmes, notamment la mise en cause des pouvoirs publics ( page 75 ) dont ceux-ci ont reçu copie.
*( page 78 ) Un article de mars 2002 de monsieur PILARD concernant les abus policiers.
*( page 79 ) Un extrait du procès-verbal de constat demandé par Madame COHEN, concernant le sinistre de son appartement en 2001, après de multiples interventions et réclamations infructueuses auprès de Sycologe.
*( page 80 ) La copie d'un courrier reçu par des locataires ayant attiré l'attention des services d'hygiène de la Mairie de Toulon sur l'insalubrité d'un appartement, et mettant en demeure Sycologe de remédier à cet état de fait dans un délai d'un mois. Voir les photos d'une partie de l'appartement ( page 29 ) qui à ce jour, est toujours dans le même état.
*( pages 83 à 87 ) Tract déposé dans les boites à lettres par le C.A.S.C.E.
 
Quand il arrivera que l'extention des « dommages collatéraux » des problèmes de la « résidence Pontcarral » arriveront chez vous, Mesdames et Messieurs les décideurs, ce jour là, il sera vraiment trop tard...  pour tout le monde !
 
                                                           Copies à ::
 
Monsieur le Directeur Départemental de l'équipement ( Service Habitat Logement ), Monsieur Horace LANFRANCHI ( Président du Conseil Général ), Monsieur Philippe VITEL ( Député et Vice-président du Conseil Général ), Monsieur Bruno MARANZANA ( Conseiller Général Conseiller Municipal de Toulon ), Monsieur le Préfet du Var, Monsieur Eric DUMONT ( Sous-Préfet à la ville), D.D.P.J.J. ( Direction Départementale de la Protection Judiciaire de la Jeunesse ), Monsieur Hubert FALCO ( Ancien Ministre & Sénateur Maire de Toulon ), Monsieur Pierre-Yves BOUTTEFROY ( Adjoint Délégué à l'Hygiène de la Mairie de Toulon ), Monsieur le Directeur de la D.D.A.S. ( Direction Départementale des Affaires Sanitaires et Sociales ), Ministère de l'intérieur, Agence France Presse, Var-Matin, Caisse d'Allocations Familiales du Var, Madame Geneviève LEVY ( adjointe entre autres à la solidarité, aux personnes âgées et aux handicapés ) Monsieur Vauzelle ( Président du conseil régional ), et divers habitants.
  
A l’attention des
Locataires
&
Copropriétaires
de
Pontcarral
  
 
 
Madame, Monsieur,
 
 
 
Je tiens à vous faire-part par la présente, de la situation à Pontcarral dont la dernière assemblée générale s’est soldée par un échec dû à la trop faible participation des copropriétaires. La renonciation et l’irresponsabilité de certains d’entre-eux, ont coûté à cette occasion 20896,95 francs aux copropriétaires : frais d’envoi des convocations, location de la salle, etc…
Il faut bien se mettre dans l’idée que tous, propriétaires et locataires de Pontcarral, nous somment dans le même bateau; à savoir que plus il y aura de charges locatives, plus les uns et les autres auront à les supporter.
Le fait de renoncer à son devoir d'intervention en tant que copropriétaire ou locataire, conduit à accentuer les coûts de ces charges.
 
Les habitants de Pontcarral, dont les locataires seuls en constituent les deux tiers, étant les premiers concernés par la vie de la résidence des charges qui en découlent et le développement de celle-ci, seraient peut-être intéressés de recevoir les pouvoirs des propriétaires qui ne peuvent pas ou ne sentent pas l’intérêt de se déplacer.
 
Le devenir de la résidence, dont les charges sont de plus en plus exorbitantes, est entre les mains de ses habitants. Aussi, je ne puis que les inviter à se serrer les coudes à la prochaine occasion qui se présente à eux, notamment au cours de la future assemblée générale qui doit normalement se tenir le samedi 12 mai 2001, exceptionnellement le matin à 08 h 30, et qui leur permettra de pouvoir s’exprimer afin de faire valoir leurs droits.
 
  
Gilles PILARD
Copropriétaire
 
 
---   RAPPEL   ---
 
 
 
L’assemblée Générale du samedi 12 mai 2001
 
est strictement réservée
 
aux copropriétaires, et aux locataires
 
exclusivement munis d’un pouvoir de leur propriétaire,
 
si celui-ci ne peut se déplacer.*
 
 
* A cette occasion, j’invite à nouveau vivement les locataires
à récupérer le pouvoir de leur propriétaire.
 
 
Merci
 
Gilles PILARD
 
 
 
 
 
 
---   RAPPEL   ---
 
 
 
L’assemblée Générale du samedi 12 mai 2001
 
est strictement réservée
 
aux copropriétaires, et aux locataires
 
exclusivement munis d’un pouvoir de leur propriétaire,
 
si celui-ci ne peut se déplacer.*
 
 
* A cette occasion, j’invite à nouveau vivement les locataires
à récupérer le pouvoir de leur propriétaire.
 
 
Merci
 
Gilles PILARD
 
 
 
 

 

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

 

Résultat de la
pétition des habitants
de PONTCARRAL
e
 
Je remercie les 235 habitants de PONTCARRAL qui ont eu la volonté et la gentillesse de signer la pétition au mois de mai 2005. En espérant que cette pétition ne reste pas lettre morte auprès des pouvoirs publics, ceux-ci ne pourront plus prétendre qu’ils n’étaient pas au courant ; et j’espère qu’ils prendront leurs responsabilités.
Sur 317 familles, nous avons pu en contacter 254.
 
Habitants contactés
Signatures
Refus de signer
254
235
19
 
 
J’avais déjà exposé en 2003 ( officieusement et officiellement ) l’incapacité du conseil syndical à prendre des décisions sans le syndic, et c’est pourquoi je ne me suis pas représenté au conseil syndical en début 2004 car je trouvais inadmissible que cela soit le Syndic qui le dirige.
La mainmise de Sycologe sur le conseil syndical est tellement évidente, qu’elle se reflète dans le tableau ci-dessous :
 
 
Membres du conseil syndical
Contactés
( 1 n’habite pas Pontcarral )
Ont refusé de signer
11
10
7
 
 
Seuls, trois membres du conseil syndical,
ont courageusement accepté de signer,
ne voulant pas être à la botte du syndic Sycologe.
 
 
Incluse dans le dossier envoyé, dont vous trouverez la listes des pièces au verso, cette pétition aura je l’espère un impact auprès des autorités publiques. Nous verrons dans l’avenir si celles-ci répondent à l’espoir des habitants d’avoir la sérénité qu’ils méritent.
 
 
 
Gilles PILARD
( appartement 1N7 )
Pour tous renseignements,
menaces, insultes, soutiens ou autres,
Vous pouvez me contacter au
06 68 07 19 58
 
 
  
Locataires et propriétaires, je rappelle que si vous avez une difficulté,
et si vous désirez vous grouper en association, la C.L.C.V. de la Beaucaire
est à votre disposition pour vous aider à faire respecter vos droits au 04 94 91 15 60
( Consommation Logement et Cadre de Vie – tour 79 – Les Mimosas – 1er étage )
 

 

*     *     *     *     *     *     *

 à Monsieur ( ..... )

et aux membres du
Conseil Syndical
de la résidence Pontcarral
Bât. D rue Dejussieu
83200   TOULON
 
 
le lundi 18 juin 2001
 
Messieurs,
 
Bien qu’ayant fait une réunion de certains habitants de la colonne M/N il y a quelques mois concernant les nuisances sonores – travaux, portes qui claquent, cavalcades et jeux d’enfants dans les escaliers – dont les familles ( ..... )  et  ( ..... )  étaient principalement responsables ( les dits ( ..... ) et  ( ..... ) étant présents à cette réunion ), il n’y a eu aucune amélioration dans le respect dû aux habitants de la colonne de la part de ces Messieurs.
 
Au bout de plusieurs mois de nuisances citées plus haut, particulièrement insupportables pendant le week-end, et après avoir été me plaindre plusieurs fois auprès des habitants responsables de ce bruit notamment au ( ..... )  ( ..... )  ( ..... ) et cela sans résultats, j’ai téléphoné le dimanche 17 juin 2001 à Monsieur ( ..... )  qui est Président du Conseil Syndical pour qu’il intervienne auprès de Mr. ( ..... )  afin qu’il cesse le tapage qu’il faisait ce jour-là.
 
J’avais déjà prévenu Monsieur ( ..... )  de ces nuisances sonores résultant notamment des travaux qui duraient depuis plusieurs mois sans qu’il ne veuille ou ne puisse faire quelque chose pour remédier à cet état de fait. Monsieur ( ..... )  de Sycologe était aussi au courant de ces problèmes. Si je me suis néanmoins permis d’appeler Monsieur ( ..... )  un dimanche matin, perturbant en cela sa vie privée, c’est parcequ’un membre du conseil Syndical – Monsieur ( ..... )  en l’occurrence – s’y trouvait impliqué. Monsieur ( ..... )  m’ayant fait remarquer dans un premier temps qu’il devait sortir, et dans un deuxième temps qu’il s’apprêtait à prendre une douche, n’a pas pu se déplacer. Ayant quand même reconnu entendre les coups de marteau pendant notre discussion, il m’a alors conseillé de prendre Monsieur ( ..... )  à témoin, et que l’on réglerait le problème en Conseil Syndical.
 
Monsieur ( ..... )  n’étant pas disponible, j’ai téléphoné à Monsieur ( ..... )  et à Monsieur ( ..... ) , afin qu’ils puissent se rendre compte des nuisances provenant de chez Monsieur ( ..... ) . Quand ceux-ci sont arrivés, l’un après l’autre, ils ont entendu les coups de marteau.
Monsieur ( ..... )  ayant une obligation, il n’a pas pu rester.
 
Quand j’ai été voir Monsieur ( ..... )  pour lui demander de ne pas faire de travaux le dimanche, celui-ci a refusé par deux fois. J’ai alors pris à témoin Monsieur ( ..... ) du refus de Monsieur ( ..... ) . En redescendant les escaliers, j’ai été suivi par Monsieur ( ..... )  et les personnes qui étaient chez lui, et je pense que j’aurais été agressé si monsieur ( ..... )  n’avait pas été là. Sentiment confirmé par la suite, car Monsieur ( ..... )  a déclaré devant l’assistance présente que si nous avions été seuls, il l’aurait fait. D’autres voisins étant arrivés, ils se sont plains à leur tour du bruit des travaux qu’ils avaient à supporter ainsi que leurs familles, et cela depuis des mois.
J’ai terminé la discussion en prévenant Monsieur ( ..... )  que cela se réglerait en réunion de Conseil Syndical. Il va sans dire que les nuisances ont continué.
 
C’est pourquoi je demande pour cette fois, sinon un renvoi, tout-au-moins un avertissement du Conseil Syndical à l’encontre de Monsieur ( ..... ) , et que cette demande soit portée à l’ordre du jour du Conseil Syndical du jeudi 12 juillet 2001.
 
En vous remerciant de votre attention…
 
P.S. : vous trouverez ci-joint, les attestations de MM. ( ..... )  et ( ..... ) .
 
Copie à : SYCOLOGE.
 

 *     *     *     *     *     *     *

 
à Monsieur ( ..... )
Cabinet SYCOLOGE
Le Renoir
52, boulevard Docteur Cuneo
83000   TOULON
  
le lundi 02 juillet 2001
  
Monsieur,
  
Vous trouverez ci-joint, non seulement la lettre précédente adressée au Conseil Syndical que je vous avais déjà remise et dont j’espère vous tiendrez compte, mais aussi les photos que j’ai prises tout au long de la semaine suivant l’altercation survenue le dimanche 17 juin.
Vous pourrez apprécier, si le garde n’a pas pu ou eu le temps de le faire lui-même, de l’état des façades « tapissées » si je puis dire par MM. ( ..... ) et ( ..... ).
Pour votre information, les portes de Mr. ( ..... ), étaient samedi toujours dans le couloir, malgré les réflexions faites à l’intéressé et au garde, par Mr. ( ..... ) dont le rôle au sein du Conseil Syndical est de veiller à la propreté des parties communes.
 
Je ne reviendrai pas sur les faits contenus dans mon courrier précédent, mais sur d’autres, plus graves, arrivés depuis, et que je tiens à porter à votre connaissance.
Cela fait cinq ans que je suis propriétaire à Pontcarral, et depuis six mois, je vis ainsi que certains voisins, de véritables nuisances qui frisent la persécution de la part d’une minorité de personnes qui viennent de s’établir et qui sont incapables de respecter les règles élémentaires de la vie en communauté.
Il était évident, que le jour de l’Assemblée Générale, Monsieur ( ..... ) ne s’est présenté à l’élection du conseil Syndical que pour me nuire personnellement car il ne supportait pas les réflexions que je lui faisais régulièrement des nuisances déjà citées. Pour ma part, je n’ai pas voté contre, et je ne me suis pas abstenu quand celui-ci c’est présenté, car je ne fais pas passer mes problèmes personnels avant les intérêts de la résidence. Malheureusement, les faits qui ont suivi ont démontré que cela n’était pas le cas de Mr. ( ..... ), et que le développement de la copropriété est la dernière de ses préoccupations.
 
A l’issue de la réunion de vendredi 29 juin 2001, réunion concernant le devenir des locaux inoccupés de Pontcarral, Mr. ( ..... ) a cru bon de se plaindre auprès de Mr. ( ..... ) des réflexions que je lui faisais concernant particulièrement le bruit des travaux qu’il faisait subir au voisinage le week-end ( rappel lettre ci-jointe ).
En dépit des précisions apportées par certains membres du Conseil Syndical, particulièrement de Mr. ( ..... ), spécifiant que l’on ne doit en aucun cas faire des travaux le dimanche, Mr. ( ..... ) passant outre ces observations en disant non seulement qu’il s’en fichait et qu’il continuerait à en faire si cela lui chante ( hier, dimanche 01 juillet, Mr. ( ..... ) continuait ses travaux ), a de plus réitéré ses menaces à mon encontre, mais plus grave encore, a porté cette affaire sur le plan « politique (?) » en se tournant agressivement vers Monsieur ( ..... ) ( qui avait eu le malheur de témoigner du refus de Mr. ( ..... ) d’arrêter ses travaux ) en faisant le parallèle avec le problème Israëlo-palestinien.
 
Cela fait plus de deux ans Monsieur, que je suis membre du conseil syndical ; et même si parfois nous ne sommes pas tous toujours d’accord sur certains problèmes, il n’y avait jamais eu jusqu’à ce jour entre-nous de problème de racisme.
Au moment où nous sommes tous entrain d’œuvrer pour une meilleure évolution de la résidence, je pense qu’il n’est pas concevable d’accepter de tels propos qui n’honorent pas la communauté de ceux qui les profèrent.
 
En conséquence de tous ces faits énoncés que je trouve inexcusables, je pense sérieusement qu’il n’est pas possible de tolérer de telles pratiques.
Aussi, revenant sur ma lettre précédente, je demande instamment non plus un simple avertissement, mais le renvoi pur et simple de Mr. ( ..... ) du Conseil Syndical, afin de casser dans l’œuf toute action visant à déstabiliser la fragile entente entre nos diverses communautés, et que nous puissions continuer de travailler sérieusement et en toute sérénité pour la copropriété.
 
En vous remerciant de votre attention, recevez, Monsieur, l’expression de mes sentiments les meilleurs.
  

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11 janvier 2007 4 11 /01 /janvier /2007 00:12

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à Monsieur ( ……. )
  
Président du Conseil Syndical
de la résidence Pontcarral
Bât. D rue Dejussieu
83200   TOULON
 
le mercredi 24 octobre 2001
 
Monsieur,
 
Ouvrant à nouveau le parapluie dont vous passez le temps à vous couvrir, Monsieur ( ……. ), parapluie qui grandi tellement qu’il en devient parasol, vous m’avez demandé une énième lettre concernant une nouvelle fois les derniers rebondissements relatifs aux relations problématiques que j’ai avec Mr. ( ……. ), membre du conseil syndical. Voici cette lettre, que j’espère dernière, si toutefois celle-ci était nécessaire ce dont je doute.
 
Il y a quelques mois nous avons fait une réunion du conseil syndical concernant les problèmes dont notamment la famille de Mr. ( ……. ) était principalement responsable. Lors de cette réunion, le conseil syndical n’ayant pas voulu suivre ma demande de renvoi de celui-ci, il avait été décidé toutefois que si ces nuisances continuaient, il serait procédé à ce renvoi séance tenante par lettre recommandée.
Les dites nuisances ayant continué ( et encore je n’ai pu faire constater comment cette famille se conduit comme des porcs, notamment le jour où un de ces fils à vomi au bord du palier ), j’ai quand même pu vous faire remarquer personnellement, Monsieur le Président, le minimum, notamment que les tapis et vêtements étaient toujours aux fenêtres. Pour ce qui est des travaux, j’ai pu faire constater à d’autres personnes que le problème n’était toujours pas réglé et que messieurs ( ……. ) et ( ……. ) s’en foutaient royalement. C’est pourquoi je ne peux ni ne veux passer mon temps à courir après les gens, ni les ennuyer à leur demander des attestations qui sont prises trop à la légère.
 
Cela fait des mois que cette situation perdure, et étant fatigué d’avoir eu raison une fois de plus trop tôt, je vous demande une dernière fois d’y mettre un terme, comme vous auriez du le faire comme prévu, dès que les problèmes ont repris et que vous en avez eu connaissance il y a de cela quelques semaines sans que je n’aie besoin de faire cette lettre.
Comme le disait un humoriste : je n’ai qu’une parole… pour pouvoir la donner, il faut bien que je la reprenne parfois. Vous m’avez dit quand je vous ai fait constater ces nuisances et après avoir insisté, que vous n’aviez qu’une parole. Vous pouvez la garder pour quelqu’un d’autre, car à ce jour la lettre concernant le renvoi de Mr. ( ……. ) du conseil syndical n’est pas partie comme prévu.
Je vous demande simplement de prendre vos responsabilités une bonne fois pour toutes, et d’entériner une décision du conseil syndical prise il y a de cela quelques mois.
 
En vous remerciant de votre attention, mais pas du temps perdu pour en arriver là…
 
*     *     *     *     *     *     * 
 
aux Membres du conseil syndical
de la résidence Pontcarral
 
Objet : réunion du lundi 31 mars 2003
 
Toulon, le 30 mars 2003
 
Messieurs,
 
Non seulement nous n’avons été prévenus de la dernière réunion du conseil syndical ( celle du 19 mars 2003 ) que le jour même, mais la réunion prévue pour le lundi 07 avril à été avancée le 31 mars ( courrier envoyé 5 jours avant ) car monsieur ( ……. ) ne pouvait y assister. Je rappelle que monsieur ( ……. )  ne pouvant apparemment jamais assister aux réunions du conseil syndical, a un représentant. Si celui-ci prend des décisions ou de simples rendez-vous à la légère, c’est son problème. Il serait temps que monsieur ( ……. ), président du conseil syndical prenne ses responsabilités et remette un peu d’ordre dans le déroulement, le suivi et les décisions prises par les membres du conseil.
 
Pour l’instant, considérant qu’il n’y a plus de règles qui s’appliquent au conseil syndical, celles-ci étant bafouées, et ayant déjà prévenu que je serais absent cette semaine, je demande à monsieur ( ……. )  de me remplacer à cette réunion.
 
Par ailleurs, ne pas prévenir en temps la quinzaine de représentants du conseil syndical et ne pas respecter leurs décisions, revient à ce que deux ou trois personnes dirigent ce conseil, ce qui n’est pas une situation normale.
 
* Copie aux représentants du conseil syndical
 

*     *     *     *     *     *     *

Monsieur MAÎTRE
 
agence SYCOLOGE
e
Toulon, le 19 janvier 2004
  
Monsieur,
  
Je reviens une fois de plus – cette fois ci par écrit – sur certains points ( points dont la liste n’est hélas pas exhaustive ) afin d’attirer votre attention sur la situation à Pontcarral qui est de plus en plus catastrophique :
 
* Encombrement des couloirs, coursives et escaliers par des poubelles, matériel et objets divers, scooters.
* Encombrement des couloirs, coursives et escaliers par des enfants dont les parents prennent les parties communes pour une annexe de leur appartement.
* Bruits de travaux exécutés le week-end.
* Dégradation des murs par des tags.
* Parties communes souillées d’urine et d’excréments de chiens.
* Projections de poubelles et détritus par les étages ( notamment un poste de télévision blessant il y a quelques temps une personne ) .
* Lâcheté, et incompétence des forces de police amenant de par leur incapacité au fait que Pontcarral est devenue une zone de non droit.
* Plaintes déposées contre X par des responsables de la copropriété connaissant les personnes fautives.
* Avertisseurs de voitures pour faire descendre des personnes attendues en bas, ou pour faire retirer des voitures mal garées au vu et au su de tout le monde, donc du garde dont les points précédents démontrent l’ incapacité.
* Non suivi des décisions du conseil syndical ( cellules d’éclairages non installées depuis 2 ans – balisage petit parking non réalisé – travaux de fermeture du local jeunes non effectués, etc… ).
* Mainmise de Sycologe sur le conseil syndical.
 
Sans parler des fausses promesses, mensonges et démission de la part des institutions notamment Préfecture, AEPJJ, Mairie, Sycologe, qui se renvoient la balle depuis des mois. Cette situation d’irresponsabilité à déjà mené à la suppression des emplois jeunes prévus.
En effet, l’AEPJJ, la mairie, et le syndic Sycologe, est le nouveau triangle des Bermudes Toulonnais où se noient et disparaissent les bonnes volontés citoyennes dans l’indifférence générale. Les élections vont bientôt arriver et les politiques ressortent leur brosse à reluire et caressent les électeurs dans le sens du poil. Les élections passées, ceux-ci sont laissés pour compte et les promesses sont renvoyées aux calendes grecques.
Par ailleurs, la « résidence » Pontcarral fait partie de la prévision du contrat de ville depuis 4 ans, qui est actuellement devenu lieu de vie. Non seulement nous ne voyons rien venir, mais on entend déjà parler d’une extension de ce contrat de ville fantôme aux quartiers environnants : promesses de politicards.
En attendant, où stagne l’argent prévu du contrat de ville ? Qui profite de cet argent ou des intérêts de celui-ci ?
Les politiques oublient souvent que les subventions ne sont pas un cadeau fait aux associations, mais sont une redistribution des impôts qui permet aux pouvoirs publics de faire des économies en se libérant de la charge de travail sur les millions de bénévoles des associations qui contribuent à ce que le pays ne verse pas dans la pagaille.
 
Pour résumer la situation, les règles élémentaires de savoir vivre en communauté sont bafouées chaque jour de plus en plus allègrement par des individus n’ayant rien à foutre de l’incurie de votre gestion qui mène la résidence Pontcarral au chaos. Je viens donc par la présente en tant que propriétaire, vous mettre en demeure de faire votre travail en redressant la situation à Pontcarral, sinon je ne répondrai en rien sur le devenir de cette « résidence » qui ne l’est que de nom.
En vous souhaitant bonne réception de la présente, je vous prie d’agréer Monsieur, l’expression de mes sentiments désolés.
  
Copies : Préfecture, Prévention Judiciaire de la Jeunesse, Mairie de Toulon, Var Matin, copropriétaires, locataires, etc…
( à reproduire et à répandre )
 

 *     *     *     *     *     *     *

à Monsieur MAÎTRE
 
agence SYCOLOGE
 
  
Toulon, le 11 mai 2005
  
 
Monsieur,
 
Etant fatigué de votre incompétence concernant la gestion de la copropriété Pontcarral, je vous préviens par la présente de mon intention de ne plus payer les charges de copropriété et ce, au moins jusqu’à la prochaine assemblée générale. Une somme sera néanmoins versée sur un compte à part afin de pallier au retard le jour venu, si vous désirez me traîner devant un tribunal. Tribunal auquel je demanderai que, pour ce qui est des charges en cours que je dois à ce jour, et au regard des divers manquements à votre charge, je les garde en tant que dommages et intérêts. Vous aurez bien l’amabilité de porter ma décision à l’ordre du jour de la prochaine assemblée générale. Je vous rappelle par ailleurs, que les convocations pour la dite assemblée générale devront être envoyées au moins un mois avant celle-ci et que nous n'avons à ce jour rien reçu.
 
En vous souhaitant bonne réception de la présente, je vous prie d’agréer Monsieur, l’expression de mes sentiments dégoûtés.
  
  

  *     *     *     *     *     *     *

 à Monsieur ( ....... )
Président du conseil syndical
de la résidence Pontcarral
 
Objet : demande du cahier de P.V. du conseil syndical
 
Toulon, le 26 mai 2005
 
Monsieur le Président,
 
En tant que propriétaire, j’aurais désiré prendre connaissance du cahier de présence du conseil syndical, contenant les listes des membres présents aux réunions, ainsi que les procès-verbaux des délibérations du conseil, aux réunions de ces dernières années. Pourriez-vous me prêter ce registre, ou me dire où je pourrais en prendre connaissance ?
 
En attendant une réponse favorable de votre part, recevez, Monsieur le Président, l’expression de mes sentiments les meilleurs.
 

  *     *     *     *     *     *     *

  
 
Article du journal
 
Voix de PONTCARRAL
Mars 2002
 
 
  
Police à PONTCARRAL
 
Ecœurement, dégoût, colère… ce sont les mots qui viennent spontanément envers ce qui à été qualifié par certains de coup de force policier, et que l’on pourrait aussi qualifier de coup de farce, si ce n’était si grave, en cette fin d’après-midi de vacances scolaires.
 
    En effet, le jeudi 07 février, étaient rassemblés sur le terrain de jeux de la résidence Pontcarral, plus d’une centaine de jeunes pour un tournoi de football organisé par Monsieur Ali CHAAOUANE, médiateur AEPJJ, et l’association Pontcarral Avenir. Quelques élus et représentants de la Mairie et du Conseil Général présents sur le terrain, qui nous ont fait le plaisir d’assister à cette manifestation, ont pu constater que ce tournoi fut marqué par une très bonne ambiance, faite de camaraderie, d’amitié, et de respect des règles sportives.
Plus encore, d’autres équipes venues d’ailleurs, notamment de Mon Paradis, de Guynemer et de La Marquisanne, participaient elles aussi au rassemblement, dont la bonne tenue a fait l’unanimité parmi les personnes présentes.
 
Las ! En fin d’après-midi, en plein milieu du dernier match de la finale, il y eu un mouvement de désarroi et d’étonnement parmi le public présent. En effet, une vingtaine de policiers et gendarmes investirent la résidence pour procéder à un contrôle. Si personnellement je les ai vus cinq fois dans la résidence en quatre ans, c’est le bout du monde… et évidemment quand personne n’en a besoin, car la plupart du temps quand il y a des problèmes, ils n’osent pas venir et l’on est obligé de régler certains différents entre habitants. Il en est de même dans les autres quartiers comme il y a de cela quelque temps, une pharmacie qui s’est faite braquer par un homme armé d’un cutter; et les policiers dont le bureau est situé à cinq mètres de la dite pharmacie, ont mis… 10 minutes à intervenir ! C’est honteux de voir autant de lâcheté dans des situations dites à risque, et autant de tartuferie quand il s’agit d’emmerder des jeunes qui avaient fait la preuve de ce que peut apporter de positif le sentiment de faire quelque chose de bien dans une cité ou un grand ensemble.
 

    *     *     *     *     *     *     *

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11 janvier 2007 4 11 /01 /janvier /2007 00:12

 

Deuxième partie :
 
Visite de la "résidence"
e
Ce qui suit, sont les photos incluses dans le dossier reçu en juin 2005 par toutes les autorités citées dans la première partie...
 
2004 / 2005
 
Bienvenue
pour une visite guidée à
 
PONTCARRAL
 
où certains ne veulent plus,
n’osent plus, ou ne peuvent plus
mettre les pieds.
 

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
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