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4 avril 2011 1 04 /04 /avril /2011 19:29
Article à voir sur AMERZONE-PILARD
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15 février 2008 5 15 /02 /février /2008 10:23
 
J’ai reçu il y a quelques temps, les réponses à mes demandes auprès du cabinet LAURE et du nouveau syndic. La réponse du premier étant à la hauteur de son incapacité à présider l’Assemblée Générale, je vous laisse juge du courrier reçu. Quand au second, l’ayant encore depuis rencontré, je loue la prudence dont il fait preuve. Il est cependant remarquable de voir certaines décisions du Conseil Syndical qu’il ne peut ou ne veut apparemment aller à l’encontre comme, je cite :
 
« 1/ Sur la question du garde, le Conseil Syndical m’a fait part de son souhait de ne pas le remplacer, ce qui permettrait, selon le calcul de certains, de faire des économies substantielles. Personnellement je pense que les deux systèmes ont leur intérêts comme leurs défaillances et je compte suivre l’avis du Conseil Syndical dans un premier temps … »
 
Faire des économies substantielles en supprimant le poste du garde ! Comment certains membres du Conseil Syndical peuvent-ils sortir de telles âneries ? ( C’est une interrogation de pure forme, car les connaissant j’ai la réponse !  ).
 
Pourquoi alors ne pas supprimer les ascenseurs, les femmes de ménage, l’électricité dans les couloirs, le ramassage des ordures, tout ce qui coûte de l’argent quoi ! Bref, comme le disait un membre du Conseil Syndical il y a quelques mois : « Ici, ça doit être comme au bled ! » Encore un effort les mecs, vous y êtes presque. Et quand l’on sait que parmi eux il y a des pères de famille et des grands-pères, cela vous donne une idée du niveau du quotient intellectuel de leur progéniture. Au fait, pourquoi avoir quitté le bled ?
 
Et grâce a cela, le règne de FALCO prospère sur les ruines de la médiocrité ambiante.
Il est vrai qu’il y a quelques mois, les services municipaux se sont servis sur les communs pour voler l’eau et l’électricité des habitants ( donc sur leurs charges ) afin de faire la réfection de l’ancienne épicerie pour en faire un centre cultuel. Il serait étonnant que cela aie pu se faire sans la complicité de certains membres du Conseil Syndical, car ceux-ci tournant autour pour en surveiller les travaux, n’ont pas pu ne pas voir ce qui se passait.
 
En France, il y a un proverbe : « Qui vole un œuf, vole un bœuf ».
Depuis certains événements survenus lors de l’AÏD, à Pontcarral, c’est devenu : « Qui vole un mouton, est capable de n’importe quoi. »
 

 

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17 décembre 2007 1 17 /12 /décembre /2007 23:31
  
PILARD Gilles
 
Résidence Pontcarral
Bâtiment 1 N 7
Rue Dejussieu
83200   TOULON
à
Monsieur BRITSCH-SIRI
 
Cabinet B.S. Immo
9a, boulevard Strasbourg
83000       TOULON
 
 
le 10 décembre 2007
 
 
Monsieur,
 
 
Vous avez été élu syndic de la copropriété depuis presque deux mois.
Nous n’avons pas de nouvelles depuis un an et demi du conseil syndical, sur ce qui se passe à Pontcarral, autre que par des rumeurs et deux affichettes « judicieusement » installées depuis quelques jours auprès des ascenseurs ( la plupart du temps toujours en panne ).
 
Comme je ne fréquente pas le centre cultuel, c’est pourquoi je me tourne vers vous afin de savoir où en est la gestion de la copropriété, à savoir :
 
* Qu’en est-il de la question du garde ?
* Pourquoi s’obstiner à remplacer les ampoules de 40W dans les couloirs ?
* Quand les fenêtres et volets seront finis d’être installés ?
( notamment pour les personnes qui, comme moi, n’avaient pas de rapports « intimes » avec les entreprises concernées et l’ancien syndic ).
* Comptez-vous demander un audit de la gestion de l’ancien syndic qui permettrait de mettre à jour d’éventuelles malversations et autres magouilles qui auraient pu êtres effectuées par les conseils syndicaux présents et passés en regard des charges qui nous sont imposées ?
 
Bref, les mêmes demandes que je réitère depuis des mois, ainsi que d’autres points importants dont vous pourrez consulter la liste dans mes précédents écrits.
En bref, je voudrais savoir si l’on peut compter sur vous afin de pallier à l’incurie du conseil syndical.
 
En attendant une réponse favorable de votre part, recevez, Monsieur, l’expression de mes sentiments les meilleurs.
 
 
Gilles PILARD
 
 
 
 
 
 
P.S. : Comme je vous l’avais demandé il y a quelques temps de cela, j’aimerais que vous m’indiquiez les coordonnées du compte bancaire de la copropriété, si vous l’avez ouvert.
 
 
Copie : site pontcarral.com
 
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6 décembre 2007 4 06 /12 /décembre /2007 16:57
Quand je vous dits que cela ne s’arrange pas !


PILARD Gilles
 
Résidence Pontcarral
Bâtiment 1 N 7
Rue Dejussieu

83200   TOULON

à





Maître Simon LAURE
 
Mandataire Judiciaire
Le Carroussel A
5, rue Picot

83000   TOULON

 
 
le 27 novembre 2007
 
  
Maître,
 
j’ai reçu le 23 novembre le procès-verbal de l’Assemblée Générale du 19 octobre 2007 de la résidence Pontcarral. Je ne reviendrai pas par la présente, sur le caractère « limite » de vos non-interventions dans le déroulement de cette A.G. Vous trouverez un petit résumé de la comédie dont nous avons été témoins sur le site pontcarral.com sous le titre :
 
Assemblééééée Génééééérale de Pontcarral d'octobre 2007
  
Je ne reviendrai donc pas sur le grotesque de la situation générale, mais je tiens néanmoins à revenir sur deux points importants du procès-verbal. Je vous avais alors prévenu de bien retranscrire les minutes de cette réunion. Or, les erreurs de ce P.V. portent sur :
 
1°) Le nombre de candidats qui se sont présentés
 
2°) Le nom de monsieur Mounir BOUSSOUF qui a été « oublié » (?) dans le résultat des votes.
 
Je ne pense pas que le fait que celui-ci lève la main pour voter contre deux membres qui s’étaient présentés, n’était pas seulement pour montrer à sa coterie comment il fallait faire ( heureusement que ce n’était pas un vote à bulletin secret ), mais il va falloir qu’il assume ses votes.
Car ce n’est pas le tout de voter contre certaines personnes, il faudra bien que ce monsieur prenne un jour ses responsabilités, et qu’il arrête de se cacher une fois de plus derrière les autres.
 
A cette fin, je vous enjoins de bien remettre à jour ce procès-verbal, pour ne pas faire circuler des fausses informations qui peuvent se réitérer par la suite.
 
 
En attendant une réponse favorable de votre part, recevez, Maître, l’expression de mes sentiments les meilleurs.
 
 
Gilles PILARD
 
 
 
Copie : site pontcarral.com
 
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30 octobre 2007 2 30 /10 /octobre /2007 22:55
 
Ma soirée à l’Assemblée Générale :
 
18 h 00. Arrivée des participants. Contrôle des convocations.
 
19 h 11. Ca y est ça commence.
Choix du syndic. Apparemment, les jeux sont faits. Exit le cabinet Merle, exit le cabinet Grech Immobilier proposé par la Mairie ( apparemment le Conseil syndical et celle-ci ne s’étaient pas concertés le jour de l’Aïd, au centre cultuel qui servit à cette occasion de coin V.I.P.), nous voici avec un cabinet encore inconnu deux mois avant sur la place publique, le cabinet BS Immobilier. En effet, le responsable de ce cabinet n’a ouvert qu’en août 2007. Il a du pot, le mec : à deux mois près, il n’aurait pas eu son deuxième contrat. Ben oui, il ne détient pour l’instant qu’un seul contrat. C’est bien de donner sa chance à un jeune qui débute. Bon, le problème, c’est que celui-ci aurait déclaré que s’il arrivait à sauver Pontcarral ce serait bon pour lui ( tu m’étonnes ) sinon, il plongerait. Ouppps ! Merci ! c’est rassurant pour nous. Propos confirmés par monsieur BOUSSOUF : «  s’il glisse, on glisse ensemble. On lui tient la main ».*
ARRRGH !!! Lâchez-moi la grappe oui !
 
S’ensuit quelques autres décisions du même genre et le départ de certaines personnes résignées.
Et quand je pose la question de savoir ce qui a été fait par le Conseil Syndical depuis un an et demi, comme nous autres avions présenté notre travail lors de la fin de notre mandat, on s’entend répondre : « Si les gens veulent savoir ce que l’on a fait, ils n’ont qu’à venir nous voir ».
Bref, circulez y’a rien à voir !
Bon, c’est vrai aussi qu’il n’avaient vraisemblablement rien à dire.
 
On en vient au vote des membres du Conseil Syndical : un grand moment qui restera dans les annales de la copropriété.
( Personnellement, je m’abstiens dans presque tous les cas. Je me suis rendu compte que voter contre, c’est donner une sorte de valeur à certaines personnes qui n’en n’ont aucune.
Oui, j’ai le mépris facile… surtout quand je suis confronté à la médiocrité )
.
 
Bref, il fallait 8 candidats pour le bâtiment A ; il s’en présente environ 11 à 13.
Passage au vote. 8 élus avec 2 abstentions.
Dans les quelques restants, monsieur BOUSSOUF avec … 3 abstentions, n’est pas élu. Malaise.
Une voix s’élève ( devinez laquelle ! ) : « Il faut refaire le vote ! ».
Quoi ? Qu’entends-je ? Qu’ouis-je ? Pardon ?
Re malaise. Brouhaha. Je me lève : « On ne peut pas revoter. Ce n’est pas démocratique ! ».
Oui, je sais. Ceux qui me connaissent s’étonneront de me voir venir au secours de la démo-crassie. Mais bon, quand on veut jouer le jeu de la « démocratie », il ne faut pas venir se plaindre quand celle-ci ne tourne pas en votre faveur.

Alors pour contourner celle-ci, on a recours à l’intimidation. Pardon. Dans la bouche de certains, cela s’appelle de la dissuasion. Alors, on demande à ceux qui se sont présentés, s’ils maintiennent leur candidature. Noms après noms, ceux-ci la maintiennent ( vraisemblablement ils n’avaient rien compris à ce qui se passait ). On arrive presque à 8. Certains se tortillent sur leurs chaises. On dirait SARKOZY aux guignols de l’info le soir de l’élection présidentielle.

Encore un nom : Monsieur ( là, je ne mets pas son nom : je ne tire pas sur l’ambulance ) maintient-il sa candidature ? Réponse de la personne qui le représente « Oui ». Murmures : « Non ... non … non ! » La question est posée une deuxième fois. Même réponse « Oui ». Là, il y a problème : ils ont compris ; c’est la débâcle ! Alors ce n’est plus des murmures, ce sont des « Non … non … » catégoriques et sonres. Panique de l’intéressé. On lui repose le question une troisième fois. Réponse … « Non ». Ouf ! Enfin.
La « démocratie-directe-totalitaire-et-populaire » est sauve … on se serait cru dans « Tintin au pays des soviets ».
 
Bâtiment B : il fallait 5 membres.
Une des seules personnes compétentes, qui a déjà fait ses preuves et qui aurait la capacité plus que tout autre dans l’assemblée à être membre du Conseil Syndical, se présente. Son nom à peine prononcé, une forêt de bras se lève contre.
Pensez, c’était une femme ! Vous vous rendez compte ? Quelle horreur !
Une femme ; et en plus … qui pense. Intolérable pour certains.
 
Bâtiment C : il fallait 2 membres.
Il y a 3 candidats : donc désistement de l’une d’elles.
S'agirait quand même pas de recommencer le carnaval du vote du bâtiment A.
 
Certains reviennent de loin et respirent. Personnellement, je rigole. D’autres sont écœurés de ce genre de pratiques. Ils ne les connaissent pas comme moi, et ils commencent à voir leur vrai visage. Bienvenue au club !
Fin des « élections ». Allez, maintenant, ils sont « entre-eux ».
 
21 h 10. N’ayant plus rien à faire ici, car ne voulant pas cautionner une telle mascarade, je sors avec quelques autres.
 
C’était un soir d’octobre ; la nuit était tombée. Le début de la fin pour Pontcarral ?
 

* Ayant rencontré le syndic en question depuis, celui-ci m’a parut honnête, impartial et volontaire.
Et si comme je le pense, celui-ci a vraiment la détermination de bouger pour sauver la résidence Pontcarral, nul doute qu’il trouvera auprès de certains copropriétaires le soutien dont il pourrait avoir besoin, afin de compenser l’incompétence de certains membres du Conseil Syndical, incompétence qui n’est plus à démontrer.
Aussi, certains ont le désir de lui tendre la main, non pas pour le pousser ni pour plonger avec, mais pour oeuvrer afin de faire revivre une copropriété au bord du gouffre
.

.

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Pour vous détendre, voici en images le résumé de quelques moments forts de la soirée :
.
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Moutons-colori--s.jpg

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22 octobre 2007 1 22 /10 /octobre /2007 14:08

 

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Préparez vos mouchoirs ...

 

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6 septembre 2007 4 06 /09 /septembre /2007 17:06

Le bras d’honneur du Conseil Syndical
aux habitants de Pontcarral
 
Bien sûr, c’est un montage, mais j’ai gardé les proportions :

certains ayant pris la grosse tête.

 
Comme il a été démontré depuis des mois, non seulement les membres du Conseil Syndical n’ont rien fait à Pontcarral, mais ont aggravé la situation de par leur incompétence. Le fait de ne pas mettre en place un nouveau garde qui est parti il y a quelques mois ( si si, il y avait un garde ) et de ne pas s’occuper des dégradations de plus en plus importantes de la résidence, n’a rien arrangé.
Il est vrai qu’ils ont eu mieux à faire en 9 mois : surveiller les travaux du centre cultuel que la Mairie leur a « offert » avec nos impôts, accentuant en cela le communautarisme ambiant.
Car les réunions du Conseil Syndical étaient faites à la tête du client. Une des raisons étant que certains membres du Conseil Syndical n’ont jamais été contactés, mais aussi, que la plupart des réunions étaient décidées … au centre cultuel ( on aura vraiment tout vu ! ).
 
A l’Assemblée Générale, les irresponsables du Conseil Syndical n’ont rien trouvé de mieux que de supprimer la réunion sous prétexte que le contrat du syndic prenait fin cette année. Merci, ça on le savait. Pour la bonne raison que c’est justement la plupart de ses membres qui ont voté sa reconduite en 2004 pour une durée de … 3 ans. Ils ont eu le temps d’y penser. Ah que je suis bête ; j’ai utilisé le mot « penser » pour eux … un mot qui n’a pas sa place dans ce qui leur sert de cervelle.
Alors au lieu de proposer comme il se devrait et comme cela a été fait par certains propriétaires au fil des années un autre syndic, ils ont préféré s’en laver les mains, et faisant fi des droits et des devoirs que leur conférait leur mandat, ils se barrent en courant, en laissant aux propriétaires - dont les deux tiers ne résident pas à Pontcarral - le « soin » d’en trouver un.
Après tout, qu’est-ce qu’ils en ont à foutre maintenant qu’ils ont leur mosq local !
Il est vrai qu’ils ne pouvaient pas se battre comme nous l’avons fait car nous n’avions pas les mêmes « relations » avec le syndic et la mairie.
 
 
Ah, au fait, le président du Conseil Syndical, aussi président de l’association islamiste ACCP ( Association Culturelle et Cultuelle de Pontcarral ), aussi président de l’association musulmane jeunesse 83, aussi mari de la présidente de l’association féministe ( hi hi ; j’arrive pas à m’y faire ! ) horizon sud, a déménagé. Qu’est-ce que je vous disais : dans la série « je fous la merde et je me tire », là, on ne fait pas mieux. A présent, en gros, propriétaires et locataires de Pontcarral, démerdez-vous !
Bravo les gars, et encore merci pour eux monsieur le maire ! 
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27 juin 2007 3 27 /06 /juin /2007 20:58
Courriel à l’attention de Monsieur MAÎTRE
« responsable » du cabinet SYCOLOGE
 
Toulon, le 27 juin 2007
 
Monsieur,
 
Je vous fais part par la présente que je ne participerait pas à l’Assemblée Générale du samedi 30 juin 2007, car je ne peux me déplacer pour raisons médicales. Néanmoins, si j’avais pu venir, je ne me serais pas inscrit, et c’est pour cela que je ne donnerai pas mon pouvoir.
Au vu de la convocation annuelle, la raison en est simple : c’est que ce sont les sempiternelles questions qui reviennent sur le tapis, que les problèmes de fond ne sont toujours pas abordés, et que la « résidence » comme vous le savez, s’enfonce avec votre bénédiction et celle du « conseil syndical », dans une irrémédiable ghettoïsation. 
 

Mais je suis convaincu que vous trouverez encore cette année des moutons « personnes » qui iront encore dans votre sens, et non dans celui de la population de Pontcarral.
Pour ma part, si la majorité des propriétaires se foutent de se faire tondre, c’est leur problème. Mais surtout, ayez la décence de ne pas faire croire à ceux qui assisteront à la réunion, au vu de votre demande de budget prévisionnel, que les charges, ont, ou vont baisser. Il n’y a plus de garde à payer depuis des mois, et rien n’a été fait pour la copropriété.
 
Par ailleurs, le vol d’eau et d’électricité des communs des bâtiments A et B, pour les travaux des locaux de la Mairie de Toulon, n’a pas dû arranger les choses. Je rappelle à cette occasion, que les charges sont supportées par tous, locataires et copropriétaires. Il ne manquerai plus que vous leur en demandiez plus ! Ce serait la meilleure.
 
D’autant plus qu’il vous faudra vous expliquer sur le paragraphe b du point 10 de l’adoption dudit budget, qui vous autorise à appeler deux provisions trimestrielles pour l’exercice de… 2008 ( ? ! ). Vous ne manquez pas de culot !
Mais il est vrai que ce fut le cas ces dernières années, vous permettant ainsi de contourner le fait que l’Assemblée générale de 2004 aie alors décidé de ne pas constituer de fond de prévoyance pour les années suivantes où votre renouvellement de contrat l’avait été pour… trois mandats. Puisqu’il n’y a pas de grands travaux, à quoi vous sert alors cette provision d’argent, sinon à endetter encore plus les habitants qui sont obligés de l’avancer ?
*
 
Personnellement, je compte continuer à me battre sur d’autres plans afin que la « résidence » retrouve un autre visage, mais il est hors de question que je cautionne par mon inscription ou mon pouvoir, votre inaptitude flagrante dans la gestion de cette copropriété. 
Gilles PILARD
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23 juin 2007 6 23 /06 /juin /2007 18:28

Selon l’expression consacrée « ils tiennent les murs ». Ils, ce sont les petits zonards qui ne foutent rien de la journée, et dont les seules activités principales sont le racket et le trafic de shit. Ils tiennent les murs tantôt à côté du « magasin d’alimentation », tantôt à côté de ce qui reste de la « fresque » ou au coin de la rue, quand ils ne squattent pas les appartements vides. Coupés de leurs racines, des valeurs de respect de leurs anciens, pétris d’inculture américaine, ils tombent dans l’argent facile et/ou l’intégrisme ( les deux n’étant pas incompatibles ).

 

A part cela, ils passent leur temps à boire ( pas toujours halal ), à insulter et à provoquer les gens. Les causes principales : un quotient intellectuel à deux chiffres, une ignorance qui mène à la jalousie et à haine, les neurones endommagées par certaines substances illicites, quand ce n’est pas d’ordre génétique. Car ils ont l’insulte facile, et comme le dit l’expression populaire « comme on est, on croit les autres », ce qui est chez ceux qui lancent des insultes, un bon baromètre de leurs problèmes sexuels et familiaux.

Cette situation non seulement perdure, mais s’est accentuée au fil des années et ces derniers mois, la « résidence » se referme sur elle-même telle l’Oumma dont rêvent les intégristes islamistes, servie sur un plateau d’argent par l’irresponsabilité de la Mairie de Toulon.

D’ailleurs, entre la mairie, le syndic et le « conseil syndical » ( oui, il paraît qu’il y en a un ), on ne sait plus qui torche qui ... pour encore faire dans l'euphémisme !

Il y a quelques années, en 2000, j’étais le seul à refuser symboliquement l’autorisation permanente à accorder à la police nationale ou municipale de pénétrer dans les parties communes. Pour de bonnes raisons : non seulement ceux-ci étaient incapables de résoudre les problèmes, mais ils s’en prenaient à ceux qui n’en causaient pas. Et s’il faut qu’ils demandent la permission pour faire leur travail alors là, on aura tout vu. Payés par nos impôts, il faudrait aussi leur dire comment pratiquer leur profession ?

Alors en attendant, certains habitants baissent la tête, par peur, d’autres les ignorent en se disant que « les chiens aboient, la caravane passe ».

Hier

 

Aujourd’hui

Certains jeunes pourtant, échappent à cette indigence. Ils font des études, travaillent, ne pleurent pas sur leur sort, et arrivent à s’en sortir en devenant médecins, ouvriers, avocats, éducateurs.
Malheureusement, on ne retient que la partie visible de l’iceberg, car celle-ci, même si elle est une minorité, se sent ici en toute impunité.
 
Pour quelles raisons :
Le fait que la police en aie peur ?
Les indics qui compose la bande ?
-
En tout cas pour l’instant, une chose est sûre ; il ne faut rien attendre des laquais qui servent actuellement Sarkozy.
  
Pour se détendre, voici la vidéo des inconnus
sur un sujet à peine caricaturé :
 
   
 
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7 juin 2007 4 07 /06 /juin /2007 20:02

*

ESCOTA
ou la politique de la chaise vide !
 

*

« ESCO T' AS des nouvelles de « ponkéral » ?

 

C'est ainsi que l'on pourrait s'exprimer après avoir eu des nouvelles de Madame Isabelle ESCAPIN, « responsable de la Communication » de l'entreprise ESCOTA ! En effet, les mails et le « travail » de celle-ci sont tellement « abracadabrantesques », que l'on ne pourrait qu'en rire si la situation n'était pas si pénible pour certains habitants de Pontcarral.

Voici un florilège des mails que nous avons échangés :

*

 
From:  Direction.communication@escota.net
To:  gillespilard@hotmail.com
CC:  Direction.communication@escota.net
Subject:  Bonsoir
Date:  Wed, 21 Mar 2007 20:29:47 +0100
 
Monsieur,
Ma collaboratrice m'a dit que vous avez appelé pour signaler que vous avez adressé un mail à Monsieur Daussy et à moi-même concernant une ou des fenêtres, je n'ai pas bien compris, dans une résidence "ponkéral".
 
Je suis désolée de ne pouvoir vous répondre car je n'ai jamais reçu ce mail et en conséquence n'ai pas pu le transmettre à une personne qui pourrait vous éclairer sur votre demande. De plus,  je ne peux même pas lui faire suivre le mail que je vous adresse puisque je n'ai pas plus de renseignements et que je ne sais pas dans  quelle ville se trouve cette résidence.
 
Je vous remercie donc de bien vouloir nous faire parvenir votre demande.
Je veux bien me charger de la faire suivre: notre adresse :
direction.communication@escota.net, et si vous voulez, à mon attention :
Isabelle Escapin
A votre disposition
Isabelle Escapin
Directeur de la Communication
ESCOTA
 

 

 
gillespilard@hotmail.com Pour : Direction.communication@escota.net
 
Objet : à l'attention d' Isabelle ESCAPIN, de la part de gilles PILARD
21/03/2007 21:37
 
Bonsoir,
 
le mail a été envoyé le 12 mars 2007, aux adresses ci-dessous, données par un de vos secrétariats, et doivent exister car je n'ai eu aucun mail de retour de non délivrance.
 
 
Quoiqu'il en soit, la teneur de celui-ci est la suivante :
 
Bonjour,
 
habitant la « résidence » Pontcarral, je ne sais si vous êtes au courant de ce qui se passe au sujet de la rénovation des fenêtres. N'ayant pas eu satisfaction ni même parfois aucun retour, en « remontant » la chaîne des « responsables » ( d'abord Monsieur INNOCENTI, puis Monsieur LAROCHE ), je me tourne vers vous afin que vous puissiez résoudre cette situation, n'espérant pas avoir besoin de remonter plus haut. C'est pour cela qu'ayant personnellement travaillé dans une branche marketing, je pense que Madame ESCAPIN est bien placée en tant que responsable de la communication pour être au fait de l'importance de l'image de marque d'une entreprise.
Si vous désirez en savoir plus si vous ne connaissez pas le dossier, je vous invite à aller sur le site Internet : pontcarral.com, et prendre connaissance spécialement des deux articles consacrés à la catégorie ESCOTA.
En vous souhaitant bonne réception de ce mail.
 
Gilles PILARD
 
La « résidence » Pontcarral en question, est située à Toulon. Le contrat des travaux de rénovation se monte à plus de 2 000 000 d'euros. Il est vrai qu'en regard des contrats que vous avez dans le Var, ce n'est pas pour vous une grosse somme. Par contre, les dysfonctionnements relatifs à ce chantier ( relations avec certaines entreprises sous-traitantes, « magouilles » ), font que cela pèse sur le bien-être de certains habitants. Je pense que le « poids » de votre entreprise peut permettre de résoudre assez rapidement ce genre de problèmes... si vous en avez la volonté !
En attendant, vous pouvez voir les détails de nos demandes sur pontcarral.com.
 
En vous en souhaitant bonne réception.
 
Gilles PILARD
 

 

 
De : Direction.communication@escota.net>
Envoyé : jeudi 22 mars 2007 09:14:26
 
À : "Gilles PILARD" gillespilard@hotmail.com
 
Objet : Réf. : à l'attention d' Isabelle ESCAPIN, de la part de gilles PILARD
 
Monsieur,
 
Nous avons bien reçu votre mail. Mme ESCAPIN est en déplacement aujourd'hui. Elle en prendra connaissance demain et ne manquera pas de vous apporter une réponse.
Sincères salutations.
 
LE SECRETARIAT
 

 

 
 
Envoyé :  vendredi 23 mars 2007 19:01:38
À : "Gilles PILARD" <gillespilard@hotmail.com>
Objet : Réf. : à l'attention d' Isabelle ESCAPIN, de la part de gilles PILARD
 
Bonsoir Monsieur,
Je suis désolée mais l'adresse mail à laquelle vous m'aviez écrit est erronnée
Quoiqu'il en soit, je transmets votre courrier au service concerné
 
Bonne soirée
 
Isabelle  Escapin
 

 
A la suite de ces manques, j'ai reçu fin avril, une lettre signée conjointement de SYCOLOGE et d'ESCOTA ... pardon, petite précision : de Messieurs MAITRE ET LAROCHE.
 
En a suivi le courrier suivant que j'ai envoyé à la direction régionale :
 

 
PILARD Gilles
 
Résidence Pontcarral
Bâtiment 1N7
rue Dejussieu
83200   TOULON
à
Monsieur Philippe-Emmanuel DAUSSY
 
Président Directeur Général
 Société ESCOTA
432, avenue de Cannes
06211 b.p. 41 Mandelieu cedex
 
 
Toulon, le 02 mai 2007
  
Monsieur,
  
J’ai reçu dans une enveloppe comportant le logo d’ESCOTA, le courrier suivant :
   
Nonobstant le fait que ce courrier ne porte pas l’entête d’ ESCOTA, je pense néanmoins que vous le confirmez !?
ESCOTA en tant que mandataire de l’état, a une mission de service public de protection sonore, due à l’exploitation d’un autre service public, les autoroutes.
 
C’est pourquoi, je tiens à revenir sur quelques points :
 
1°) Comme vous le faites remarquer, le Syndic Sycologe assurait les fonctions de maître d’ouvrage … délégué. Pourrions nous savoir ce qu’il advint de Monsieur NADEAU à qui incombait les fonctions de maître d’ouvrage ?
 
2°) Les dysfonctionnements ( allèges vitrées, manivelles, etc… ), n’ont pas été relevés par le nouveau Conseil Syndical, mais par l’association COPROLOC dont je suis le Président. Relevés d’une part verbalement, et d’autre part, par un courrier envoyé – entre autres destinataires – à vos services. Le courrier en question concernait aussi d’autres problèmes, concernant les malfaçons de la pose des dites fenêtres, dont les défauts déjà constatés ne s’arrangeront pas avec le temps.
 
3°) L’appartement de l’association cultuelle et culturelle de Pontcarral ( et non pas comme vous le dites « de la copropriété » ), dont le président est pour information … le même que celui du Conseil Syndical, a une utilisation spécifique ? Pourquoi alors n’avoir pris en compte ma « demande spécifique » dans le courrier que j’ai fait il y a quelques mois.* Je suis certain que vous aurez la possibilité de me remettre la copie de la demande des travaux spécifiques et les papiers de délibération afin d’obtenir cette dérogation exceptionnelle. Antidatés ou pas, dans les deux cas, ils me seront utiles. Car selon la réglementation il y a en l’occurrence rupture de l’égalité, et de par-là de la légalité, et il s’agit d’excès de pouvoir.
 
*Courrier que vous retrouverez en ligne sur le blog www.pontcarral.com , dans la catégorie ESCOTA. Je n’ai pas encore mis tous les mails de votre entreprise en ligne, ( notamment ceux de Madame Isabelle Escapin « responsable » communication, qui valent leur pesant de cacahuètes ), évitant - pour l’instant - d’ajouter le grotesque à l’incompétence de certains, tant que cette situation ne soit pas réglée à l’amiable. Mais ma patience a des limites.
 
4°) Pour ce qui est des travaux, je ne les refuse pas tant qu’ils seront conformes à « ma demande spécifique ». Pour information, certaines de mes associations sont domiciliées à mon adresse, et j’accueille aussi du public ; mais il est vrai que je n’ai pas les mêmes ( comment dire sans être graveleux et faire dans l’ euphémisme ) « rapports » avec SYCOLOGE que le Conseil Syndical.
 
5°) Enfin, le fait que le courrier reçu porte les signatures de Monsieur MAÎTRE et de Monsieur LAROCHE, je prends ce courrier comme un front commun de SYCOLOGE et d’ESCOTA. Ce qui me facilitera la tâche, si par la suite, il me fallait porter certaines actions devant les tribunaux, entre autres le tribunal administratif qui, je ne vous l’apprendrai pas, a déjà fait ses preuves.
 
Je précise que ma démarche, et celle d’une minorité, est une démarche motivée par le fait qu’il n’y a pas à avoir ni magouilles, ni copinages, ni passe-droits ; mais à partir du moment que certains droits sont valables pour les uns, ils le sont pour les autres. Etant selon la formule consacrée de « la vieille école », je me bats pour des principes, et cela, quel qu’en soit le prix à payer. Si vous visitez mon blog, cité plus haut, vous comprendrez sûrement mon état d’esprit.
  
En espérant une réponse favorable de votre part qui mettrait fin à ce conflit, recevez, Monsieur le Directeur, l’expression de mes salutations distinguées.
  
Gilles PILARD
 

Depuis plus d’un mois, aucune réponse.
 
Adresses erronées, renvois « aux services concernés » ( apparemment celui de Monsieur LAROCHE ) incapacité de dialogue, mépris des chantiers de par la non-connaissance des dossiers : une chose est sûre, et je lance un avis aux chômeurs qui cherchent un emploi ( de quelque formation qu’ils aient ), il peuvent envoyer un C.V. pour une place de directeur de communication à ESCOTA. Il leur suffit d’avoir un tant soit peu d’initiatives et de prise de responsabilités.
 
Bon hé bien c’est pas le tout hein ,
le combat continue ! 
   
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