Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Contact

 
*
Fichier hébergé par Archive-Host.com
*
 
Pour tous renseignements,
menaces, insultes,
soutiens ou autres :
*
*
23 octobre 2023 1 23 /10 /octobre /2023 22:54

Pierre Desproges disait qu’il valait mieux se taire et passer pour un con plutôt que de parler et de ne laisser aucun doute sur le sujet. Les trois pieds nickelés qui sont venus à Pontcarral il y a quelques temps auraient du suivre son conseil. En effet, les larbins galonnés de première classe (le Préfet, le Chef de la police, le Procureur) de la macronie n’ont pas été en reste en venant faire leur show à Pontcarral. Evidemment sans avoir la décence de prévenir ni le syndic, ni le conseil syndical, et encore moins bien sûr, les habitants.

Arrivés en terrain conquis, bombant le torse (avec difficulté), ils sont venus le temps d’une heure, quelques heures après … la fin de la revente au point de deal.

Sympa d’avoir attendu la fin de la distribution et d’avoir eu l’amabilité de les laisser travailler. Comme quoi hein, le ballet « j’arrive à telle heure, et toi tu restes jusqu’à telle heure », le timing est respecté de part et d’autre. Personne ne se croise et tout le monde est content.

Car entre une partie des racailles qui sont des indics, et une partie des flics qui sont ripoux, cela fait un bon équilibre.

 

 

Il y a encore quelques mois, les responsables du point de deal avaient eu la bonne idée de préciser sur les murs des escaliers à l’intention de leurs bicraveurs et clients, qu’il fallait respecter les habitants de Pontcarral. Apparemment les nouveaux choufs ne sont pas au courant des consignes, car il se trouve toujours des merdeux qui emmerdent les habitants en faisant des « barrages » avec bloc de pierre, barrière, poubelles et portes, et se planquent comme des cafards à l’abri de la lumière. Des Gremlins qui se la jouent à « Banlieue 13 ».

Quand on entend « Ara » et que l’on voit une voiture de police passer sous les fenêtres alors que cela fait une demi-heure qu’un camion de police est stationné à l’ombre à cinquante mètres de là, portes ouvertes, il est en droit de se demander la réelle fonction des guetteurs, car pour paraphraser Chirac : un chouf s’est fait pour chouffer ! Ben oui les gars, c’est un métier.

Et pour en revenir à nos pieds nickelés, pourquoi étaient-ils là ? ! Ben pour une interview avec BFMVar et FR3, interview servant à justifier le fait de la présence policière bien en vue à laquelle on a eu droit pendant près d’un mois. Ce qui permet au chef de la police de déclarer de façon tartarinesque, avoir récupéré en un mois … une arme, de la drogue et de l’argent.

 

 

L’arme en question à du tomber de la poche d’une racaille à l’insu de son plein gré, et la police à du la ramasser par terre. Sans doute celle du merdeux qui est sorti du bâtiment il y a quelques mois et a tiré en l’air avec un pistolet en plein jour au vu et au su de tout le monde, et est rentré en vitesse laissant les gamins du coin ramasser les douilles.

 

  D’après Var-Matin, le préfet déclare : « "La population attend des résultats" […] Avec la mairie de Toulon et en lien avec les syndics, nous allons lancer un diagnostic sur les dysfonctionnements de cette copropriété", annonce le représentant de l’État. "Il s’agit de voir comment on peut améliorer les choses." Ouais, c’est ça. Le roi du « yakafokon » a parlé.

Améliorer les choses, ben c’est simple ; vous le voulez le diagnostic et les solutions principales ? Alors déjà …

1°) que la mairie de Toulon règle déjà les plus de trois mille euros de retard de ses charges,

2°) que la mairie de Toulon rende les centaines de milliers d’euros du contrat de ville que la résidence n’a pas reçu car détournés depuis le début des années 2000,

3°) et par ailleurs, ce n’est pas « en lien avec les syndics » car celui de Pontcarral n’était même pas au courant de l’interview ( bref, le Préfet est un gros menteur et un pipoteur ),

4°) et accessoirement – je sais que ce n’est pas du ressort du préfet, mais à ce stade d’incompétence des pouvoirs publics, ce n’est pas du ressort de qui que ce soit dans ce gouvernement – il faut légaliser le cannabis et transformer les revendeurs en fonctionnaires.

Le procureur quand à lui, à l’énoncé de mes reproches envers la mairie, me dit que ce n’est pas le moment. Ben oui bonhomme, c’est bien ça le problème ; c’est jamais le moment.

Et quand il dit aux journalistes que : "Le parquet sera intraitable sur ce dossier" explique Samuel Finielz, procureur de la république de Toulon. "Nous prenons des mesures de contrôle judiciaire avec des interdictions de séjour dans le département.

Ouuuuaaahhh ! Là, c’est fort ! On est bien au-delà que le rappel à la loi.

Des interdictions de séjour ? ! Putaing-cong ; les types en tremblent déjà, peuchère ! Pathétique.

En tant qu’habitants, nous avons invité la journaliste à faire 60 mètres afin de venir voir les dégradations des immeubles, notamment les parties communes concernant le rez-de-chaussée du bâtiment A, et qui sont depuis plusieurs mois en attente de travaux. Elle n’avait pas le temps.  

On attend quoi pour réparer ?

Un accident et un ou plusieurs morts ?

Bref ; entre l’incapacité des pouvoirs publics, les détournements de fonds, le silence des meRdias, Pontcarral continue de s’enfoncer dans un bordel sans nom … à l’image du pays.

Bon, c’est pas le tout, mais j’ai encore un article à finir sur le conflit israélo-palestinien. Là aussi, il y a pas mal de cons qui se bousculent au portillon.

 

Partager cet article
Repost0
19 janvier 2023 4 19 /01 /janvier /2023 18:57

Quand « Var-Catin » ne se fait pas la porte-parole de la mairie, le journal s’étonne en fermant les yeux sur les vrais problèmes de la copropriété (voir article en fin de page).

Cela fait des années que certains habitants tirent la sonnette d’alarme concernant Pontcarral, car la copropriété tombe en décrépitude.

Hubert Falco notre mairde Toulon, le ravi de la crèche en chef, en a fait une zone de non droit en achetant la paix sociale comme tous ses amis républicains, et ses nouveaux amis Macronistes. La girouette suit le vent.

Geneviève Levy ment sur Pontcarral comme une arracheuse de dents en disant que ce n’est pas de leur ressort car c’est une copropriété. Pourquoi alors la mairie est aussi copropriétaire et reçoit des subventions du contrat de ville.

Subventions dont Pontcarral n’a jamais vu la couleur, vu que la mairie de Toulon a détourné l’argent.

Et Tant que les subventions de l'état tombent, il n'y a aucun intérêt à faire quoique ce soit à Pontcarral.

 

 

Mais « l’élue » ne désespère pas de piquer encore un peu de fric de l’état avec ses petits doigts crochus car « on ne lâche pas le dossier […] Et il viendra un moment où on pourra obtenir ces financements ».

Encore une bonne année 2023 pour les rapaces …

 

https://www.varmatin.com/immobilier/selon-la-mairie-de-toulon-la-ville-ne-peut-pas-demolir-la-residence-pontcarral-819075

 

Partager cet article
Repost0
22 septembre 2022 4 22 /09 /septembre /2022 23:41

Jeudi 22 septembre 2022. Contrôlé à 12 h 15 à l’arrêt de bus Pontcarral.

Les flics sortent de leur camion et s'approchent de moi.

« Monsieur je vais vous poser une seule question ; est-ce que vous avez quelque chose sur vous ?

- Non.

- Je vous préviens que si on trouve quelque chose, c'est garde à vue … »

Etc. etc. Il me sort les conneries habituelles, quoi ! Et les autres (ils sont 4 en tout), qui s'y mettent.  Et vas-y que j'te fouille le sac (qu’il ne me pose pas la question alors ! ^^), regardent mes papiers, et un tourne et retourne mon porte-cartes.

« Mais vous ne voyez pas qu’elle est là ma carte d’identité ? Vous voulez me voler quoi ? »

Et vas-y que l’autre me palpe, la main sur mon ventre, derrière ma ceinture, dans le slibard presque. Wouuuahh ça sent les obsédés ; peut-être la « copine » du collègue qui m’avait arrêté précédemment. Voir article « Quand la police rêve de moi. »

« Non, les gars je n’ai PLUS rien. Vous arrivez trop tard, je viens justement de faire une livraison ».

MDR ; faut bien rigoler un peu non ? Ben eux, y rigolent pas.

Et voilà qu’il me dit de tirer mes baskets, et regarde dedans. Jusqu’où va se nicher le fétichisme hein, quand même ! :-)

Dans la discussion, je leur demande s’ils ont lu l’article sur mon blog, et le « chef » me répond :

« Non, nous on est un peu limités, hein » ;

Je veux bien le croire, et je lui réponds : « Je ne me serais pas permis, mais si c’est vous qui le dites … ».

Et après s’y être mis à deux pour fouiller mon sac (sûrement que Pablo Escobar avait le même), un des deux, le plus petit, fait mine de me le rendre et le fait tomber par terre en se fendant la poire.

Moi : « Pauvres gars, pauvres gars ! ».

Son collègue le ramasse et le met sur le banc.

C’est drôle, j’ai l’impression que c’est souvent comme ça chez les petits. Ou ils sont supers sympas et intelligents, ou supers hargneux et limités. Complexe d’infériorité pour ces derniers sans doute, accentué par un uniforme qui n’arrange pas les choses.

Et voilà qu’ils repartent.

Ils auront encore passé 5 minutes à jouer les cadors ; pendant ce temps-là, à 500 mètres de là, une petite vieille se faisait peut-être agresser pour 10 euros, mais comme disaient les inconnus : « Cela ne nous regarde pas ! ».

Autrefois, quand l’on voyait les policiers qui étaient généralement par deux (oui, déjà), on criait « 22, v’là les flics ! ». Mais comme à présent, ils sont par 4 (enfin, bien plus quand ils sont à l’intérieur de Pontcarral), on devrait crier quoi ? « 44 » ? Quoi qu’il en soit, maintenant, c’est « Ara ». Enfin, « Araaaaaaaaaaaaaaa » plus généralement.

Le mec, il n’a pas fini de crier, que parfois les flics sont déjà rentrés au poste pour l'apéro.

A suivre ?

 

 

 

 

Partager cet article
Repost0
10 septembre 2022 6 10 /09 /septembre /2022 21:02

Hier après-midi, je sors de Pontcarral vers 16 h 15, et passé le pont, moi qui passais « tranquille-peinard-mollo-pommes-chips-et-tout » comme disait Jacques Villeret, bam !, je me fais arrêter pour un contrôle de police : « Mettez-vous sur le côté ». J’obtempère, tout en cherchant mon portable pour les filmer. Ben oui, hein, ça commence à bien faire là ! À croire qu’ils m’ont rêvé. Trois fois. C’est la troisième fois en un mois et demi que je me fais contrôler, et ils attendent bien d’être en dehors de Pontcarral pour faire ça, en loucedé.

Je sors mon téléphone et commence à filmer, quand un des cowboys me l’arrache des mains, le passe à son voisin, un jeune, et me saute dessus pour me maitriser, comme si je comptais résister à quoi que ce soit :

« Holà, calmez-vous les gars ! Qu’est ce qui se passe ? Vous êtes fous ? ».

« Tu n’as pas à nous filmer, et qu’est-ce que tu as acheté ? » Alors déjà 1, le type me tutoie, et 2, préjuge que, puisque je sors de la résidence, j’aurais acheté quelque chose ; c’est mal parti. N’ayant rien à me reprocher, je lui réponds sur le même ton. Puis il me sort « Est-ce que tu as quelque chose de dangereux sur toi ? » pendant que son jeune collègue fouille ma sacoche que j’avais encore autour de mon coup, because que j’étais toujours maintenu les mains dans le dos, bloqué par parano numéro 1. « Là, j’ai un cutter ».

 

 

Je fais des maquettes, et je reçois souvent des colis, c’est pourquoi j’ai toujours un cutter sur moi. Je ne considère pas, vu l’usage que j’en fais, que cela puisse être dangereux.

Et voici qu’un troisième se pointe et commence à éructer des insultes en me postillonnant à 10 centimètres du visage. Et les questions débiles commencent ; à savoir si j’ai acheté quelque chose, pourquoi je viens de Pontcarral.

« Oh les gars, j’habite là ; c’est marqué sur ma carte d’identité, lisez là ! »

« Fais pas le malin, ou on t’embarque ! »

« Allez-y, j’ai tout mon temps, je n’ai rien à me reprocher et je suis à la retraite. »

« Et qu’est ce que vous faisiez comme travail ? (oui, parano 3 me vouvoie lui ; c’est déjà ça) Ah l’EDF ! ?, mais c’est des fainéants à l’EDF. »

S’ensuivent quelques considérations sur les métiers respectifs, et je plaignais déjà l’étonnante démarche présente des « forces de l’ordre », qui n’osaient pas contrôler à l’intérieur de Pontcarral.

Je leur demande alors pourquoi ils n’ont pas de noms, pas de matricules, pas de numéros, et parano premier me fait : « 1.2.3.4.5.6.7… » Quel déconneur ; et c’est moi qui faits le malin ! ?

Je leur fais remarquer que la première fois où j’ai été contrôlé, il y a quelques semaines, un jeune policier m’a fait la réflexion qu’il n’y avait plus de « profils ». Mais les gars, il n’y aurait jamais dû y avoir de profils, justement. Mais il est plus facile de s’en prendre à un innocent blanc, que de « taper dans le dur ». Et z’y-va que le type me parle de son âge, se la joue à « m’sieur je sais tout, j’ai tout vu dans ma vie », me dit qu’il a cinquante piges et quelques et me demande mon âge : « 63 ans » ; j’ai gagné là, non ? !

Vu le comique de la situation, je me fends la gueule, j’me tape des barres comme un petit fou, ce qui a pour résultat qu’il monte dans les tours. « Mais j’y suis tous les jours à Pontcarral ! » qui me dit le policier. Oui, « policier » car à un moment j’ai dit flic dans la discussion, et il m’avait repris. D’ailleurs flic n’est pas une injure (ou alors il va falloir renommer tous les titres des films de Delon ou Belmondo où il y a le mot flic), et je n’ai d’ailleurs jamais insulté ni menacé quelqu’un de la police. Ayant recours à l’ironie et à l’humour, ce sont les seules armes que je peux opposer à leurs insultes … et à leurs crachats. Car il a beau me vouvoyer, il me postillonne toujours dessus le pépère. Je fais le dégoûté et demande à l’autre de me lâcher afin que je puisse m’essuyer le visage, mais il en rajoute exprès. Petite mentalité de frustrés (Ça messieurs, c’est ce que l’on appelle une « considération factuelle », pas une insulte).

Et voilà qu’il me sort que je ferais mieux de filmer les dealers. Mais les gars, les dealers ne m’emmerdent pas, eux. Chacun sa merde. Si on ne me prend pas la tête, je n’ai aucune raison de faire chier le monde. Il faudrait que nous, citoyens lambda, prenions la place des forces de l’ordre afin de palier à leur incompétence ?

Laissez-nous nous armer alors, et restez cloitrés dans vos commissariats, munis comme ils le sont à présent comme celui de Toulon d’hygiaphones, et de barreaux comme à La Beaucaire. Il vous arrivera rien.

Et le énième couplet genre « vous êtes bien contents quand on vient ». Ben non, manque de pot bonhomme, vous ne venez jamais. D’ailleurs, ça fait plus de 10 ans qu’on a pas appelé, car à l’époque quand on a été agressés chez nous, vous nous avez dit de passer le lendemain déposer une main courante. On avait déjà compris que les interventions des « forces de l’ordre » (rien que l’expression à de quoi faire rire), ne concernaient déjà pas les babtous, goys, ou autres gwers comme nous. Vu qu’ils ont la plupart du temps ordre de ne pas intervenir contre « les chances pour la France », ils se rabattent sur les français de souche sur lesquels ils passent leurs nerfs.

 

 

Revenant sur le fait qu’il était tous les jours à Pontcarral, je lui fais remarquer qu’il était dommage qu’il n’aie pas été là samedi matin vers 6 h 00, quand ce pauvre Fabien s’est fait tirer dessus*.

Alors comme ça ne lui plaisait pas et voyant que je ne faisais pas profil bas, voilà qu’il décide de m’embarquer.

Et allez ! Menottes et tout le tintouin, sans oublier de me tordre le bras une dernière fois, pour la route. Gratos. Et dans la voiture, s’est reparti. Heureusement qu’il conduisait ; ça lui évitait de me cracher dessus, mais il n’en était pas moins virulent.

A côté de lui, son acolyte, place passager (oui, monsieur parano premier), qui rigolait à chaque fois que son chef sortait une saillie, disait que s’il trouvait le moindre gramme de shit sur moi, il allait me faire plonger. Il s’y voyait déjà. Il reniflait déjà le pastis de son pot d’avancement.

A côté de moi, le jeune policier lui, était correct. J’espère qu’il n’apprenait pas son métier en prenant exemple sur les Dupont et Dupond en question.

*     *     *     *     *

Arrivés au poste, il y en a un qui dit à un de ses collègues, que je me plaignais d’avoir été arrêté car j’étais blanc. Pauvre. Dans la série « noyer le poisson pour ne pas passer pour un con », on ne fait pas mieux.

Au poste, c’est parano 1 qui s’occupe de moi.

Dans le couloir je vois entre-autres passer un type qui crie de douleur (car un policier lui tord le bras dans le dos ; bienvenue au club, coco ! C’est une spécialité de la maison) et qui lui lance des « Putain d’ta mère ». Voilà des considérations sur la possible profession de la mère du policier qui m’ont fait penser que : « Houlà, toi, avec les insultes que tu leur balances, tu vas prendre cher ! ».

Comme je pensais y passer la nuit, je demande au « futur chef », si je peux téléphoner car je devais annuler le rendez-vous que j’avais au psy à 17 h 30. Et il me répond « Et tu ne veux pas une pipe non plus ? » Pardon ? J’en croyais pas mes oreilles, et j’ai eu besoin de lui faire répéter. Non, j’avais bien entendu. Bonjour le niveau ! Je lui réponds « Non, je ne suis pas homosexuel ».

Il me répond : « Mais moi non plus, (hummm ! vu de la façon dont il me plaquait contre lui, une demi-heure avant … enfin bon ; je vais lui laisser le bénéfice du doute) mais on peut demander à … ». Je lui réponds qu’en effet j’ai vu sur Internet une matonne dans une prison faire de telles choses à un prisonnier, mais que j’étais marié et fidèle.

Je ne pensais pas que dans le commissariat de Toulon, il y ait une préposée à ce genre de choses ; une de leurs collègues sans doute. Le personnel féminin du commissariat appréciera.

Après que je lui aie demandé de m’enlever les menottes, car je n’allais pas aller loin, il me demande à quel étage j’habitais. Je lui donne la réponse en lui précisant d’abord que j’allais parler lentement, car il était hors de question que je répète une deuxième fois. Je lui ai aussi demandé si je pouvais retirer ma casquette, et la mettre dans ma sacoche. Vaut mieux préciser tous les mouvements que tu comptes faire dans ces cas là … une bavure est si vite arrivée. ^^

Il tape sur son ordinateur, et ressort, me laissant sous la garde du jeune. J’attends. A un moment, je me penche pour récupérer mon livre, et le jeune m’interrompt. « Ça va, - je lui dits - je vais lire un peu, il n’y a pas de shit entre les pages ». Après l’avoir feuilleté, il me le rend et je commence à lire.

Quelques minutes après, le numéro 1 arrive. Pas le grand patron du commissariat, naaan, le mien hein ; le préposé à l’avancement.

Il retapote sur son clavier, se sert même de mon téléphone comme règle pour tracer des traits sur son cahier (on ne plaindra jamais assez la police pour leurs manque de moyens), et au bout d’un moment, il me sort :

« Ramassez vos affaires vous pouvez sortir » (oui, je crois qu’il s’est mis à me vouvoyer).

« Pardon ? Je peux partir, c’est tout ? Comme ça ? »

Les o policiers o flics o agents o bourres o cognes o keufs o perdreaux o poulets, etc. (caser la case de vos préférences), ou, enfin, o gardiens de la paix – qui devraient nous la foutre plus souvent, la paix, à nous les honnêtes gens –, m’ont déjà fait le coup il y a quelques années, en m’embarquant le jour où j’avais filmé une douzaine de voitures brûlées à Pontcarral, et incidemment eux, qui patrouillaient au loin. Comme ça : arrestation abusive, détention arbitraire. Sans raison. Histoire de passer le temps sans doute, faire du chiffre, ou tout simplement se « la péter » car ils « auront fait une « intervention » à Pontcarral ». Pauvres. Et ils t’emmènent … mais ils ne te raccompagnent pas.

Moi qui suis fasciste, je me trouve en position d’enfant de cœur face à des méthodes issues de cette belle démo-crassie franchouillarde, que ne renieraient pas les staliniens.

En me raccompagnant à la porte, je lui dis que j’espère que je serai convoqué, car je ne compte pas en rester là. Il me le confirme.

Chemin faisant, je me rends compte que j’ai oublié mon cutter. Pour vous dire que ce n’est pas ma préoccupation première. J’y suis retourné – après ma séance comme vous savez –, hé ben, ils n’ont pas voulu me le rendre. Si c’est pas du vol, ça ! J’ai pas trop insisté, de peur que le scarabée fasse une pirouette dans la tête d’un « représentant de la loi » (j’ai bien dit là ?), et finisse par péter les plombs. C’est souvent con un fonctionnaire armé.

Voilà ; bon, il n’y a pas de quoi faire un film, tout au plus un court-métrage que l’on pourrait intituler « Une heure dans la peau d’un flic », ou « Y’a-t-il un pilote dans l’avion sécurité ». Ah ben oui, mince, on a déjà la chute. La réponse est … Moussa Darmanin ; ceci explique cela.

Pour ma part, je suis rentré, et lavé le visage ... reste plus qu’à me racheter un cutter.

u     u     u     u     u

* Blessé mortellement quand il faisait encore nuit, pendant son travail d’agent d’entretien, Fabien est décédé hier de ses blessures causées par des salauds.

Il ramassait les ordures laissées par les cafards qui tiennent les murs, et qui laissent trainer leurs détritus à la fin de leurs nuits de beuverie. Des sous-races humaines que l’on nomme couramment racailles. Et dont la police est impuissante à canaliser.

 

Partager cet article
Repost0
7 juin 2022 2 07 /06 /juin /2022 19:09

Mais c’est quoi ces conneries ? Je descends en bas de chez moi, regarde l’heure sur mon portable et j’entends un merdeux (oui, un chouf) marmonner quelque chose à mon encontre. Je m’approche pour savoir ce qu’il voulait et il me demande si je filme. Je filme quoi ? Mais qu’est-ce qu’il en a à faire ? Et il me demande de soulever mon tee-shirt ? Mais je rêve là !

 

Une fois que je lui saute dessus, il se met à gueuler pour appeler ses potes. Ben moi aussi je fais pareil, et les cafards déboulent de partout. Et ils me disent qu’ils contrôlent. Mais vous avez quoi à contrôler bandes de nazes ? La population de Pontcarral ? Et au nom de quoi ? Vous êtes qui, bande d’abrutis ? Il a fallu que l’un d’entre eux leur dise qui j’étais pour qu’ils répondent qu’ils ne savaient pas. Mais ils n’ont pas à savoir si moi ou quelqu’un d’autre est habitant ou pas de la «résidence». Si certains habitants ont pris l’habitude de baisser les yeux ou d’obtempérer, c’est leur problème. Ça fait 27 ans que je suis là, et ce n’est pas des petits trous du cul qui vont me chercher.

 

Qu’ils passent leur temps à gueuler quand ils voient une voiture de flic (oui, ce n’est pas toujours le jour des pots-de-vin), je m’en fous comme de ma première chemise noire. D’ailleurs continuer à gueuler comme au moyen-âge à l’heure de la technologie du XXIe siècle, me semble d’un manque d’organisation flagrant. Bon, je ne vais pas leur donner des conseils, mais quand même, parfois c’est tentant.

 

Je me fous personnellement de qui trafique quoi dans la résidence. Si ce n’était que moi, qui suis pour la légalisation, ils auraient tous le statut de fonctionnaires. Quand les marseillais tenaient «le marché» à Pontcarral, il n’y a pas eu un seul problème pendant deux/trois ans.

La seule fois que j’ai porté plainte nommément, il y a de cela une dizaine d’années, contre deux racailles qui gueulaient bien fort des insultes et parfois des menaces de mort au milieu de leurs potes, le procureur a classé sans suite ; non recevable ? ! Et pour cause : dans l'année qui a suivi, il s’est avéré que les grandes gueules en question étaient des «cousins», des petites merdes de balances ; c’est pourquoi ils étaient protégés par la «justice» franc-maçonne de ce pays de merde. Car les flics sont une bande comme les autres ; ils ont choisi leur camp, et ce n’est pas celui des honnêtes gens. Mais dans la vie, tout se paye ; et il n’y a qu’à voir dans l’actualité comment ils sont perçus par les malfaiteurs. Et aux yeux de citoyens comme moi, ils sont comme le H d’Hawaï ils ne servent à rien et on ne peut rien en attendre.

 

Et la prochaine fois qu’un merdeux me demande de soulever mon tee-shirt, je ne me contenterai pas de le choper par le colback. Pour moi, il n’y a pas de codes de quoi que ce soit. Il n’y a qu’une seule règle ; règle qui s’étend à mes proches, à mes amis et à ceux de la copro qui n’en n’ont rien à faire de leurs histoires. La règle, c’est : faites pas chier les gens ! Basta !

 

Un jeune de Marseille interviewé dans l’émission de Morandini il y a quelques jours à tout compris à la situation, et son discours est criant de vérité sur tous les plans.

Le policier lui, à raison en disant que "la police est la seule institution d’état qui rentre dans ces quartiers" … oui, et c’est bien dommage.* (Voir vidéo ci-dessous).

 

* Il en est de même à Pontcarral où la mairie a détourné (volé !) depuis des années, les millions du contrat de ville destinés à Pontcarral. Ce qui va obliger les copropriétaires à refaire les rénovations de façades, rénovations qui coûteront en moyenne près de 10 000 euros par appartement. Et c'est prévu dans les jours qui viennent pour la prochaine Assemblée Générale.

 

"La police c'est la seule institution d'Etat qui rentre dans ces quartiers. Quand on arrive, on est là pour traiter un problème d'urgence. On est là pour que les gens vivent mieux", a déclaré le policier. Un jeune présent sur place a tenu à s'exprimer. "J'ai rencontré le Président il y a plusieurs mois. Rien n'a changé. Les policiers viennent, prennent ce qu'ils ont à prendre, un peu d'argent de poche (...) La police n'est pas bien formée. Il faut la changer régulièrement. Une fois qu'ils prennent leurs marques, ils savent comment les guetteurs s'appellent. Ils sympathisent avec eux".

"Ce sont des vieux clichés. Tous les policiers qui travaillent dans ces quartiers, ce sont des hommes et des femmes qui travaillent au péril de leur vie pour sauver la veuve et l'orphelin. A chaque fois, on accuse les policiers de voler de l'argent", a déclaré Rudy Manna. "Il faut que la police vienne pour des problèmes essentiels, pas pour des bêtises. Pas pour se faire plaisir. Il ne faut pas que la police vienne pour taper des jeunes gratuitement...". Jeanmarcmorandini.com

 

 

Partager cet article
Repost0
24 juin 2021 4 24 /06 /juin /2021 22:23

 

 

Cet après-midi, je bullais tranquille pépère-pommes-chips-et-tout (comme aurait dit Villeret) devant le film PARASITE (film Coréen, Palme d’or à Cannes 2019 – pour ceux que cela intéresse), quand des parasites sont venus frapper à ma porte.

Ceux-ci en groupe de trois, non-non même pas des évangélistes, faisaient un démarchage pour un «contrôle» (?!), en me parlant de GRDF, LINKY, et autres. N’ayant besoin de rien, je refermais ma porte après avoir remercié la personne qui n’en finissait pas de débiter son laïus sur ERDF-GRDF, LINKY, etc.

Une fois revenu devant mon poste, cela m’a fait tilt. Et la lumière s’est faite. Naaaan, sans jeu de mots !

Je prends mon téléphone, je me mets à filmer, et retourne sur le palier pour demander au groupe de quoi il retournait exactement. Et là, c’est parti pour le grand guignol. Dans le groupe, un jeune qui ne disait rien et était en retrait (aucun problème avec lui), une brune qui essayait de placer son produit, et une blonde-ass genre racaille hystérique.

Et zy-va que je n’ai pas le droit de filmer, et tout le tintouin qui va avec. etc… Manque de pot, SI.

Non seulement c’est un lieu public, et c’est le fait de publier sans autorisation qui est interdit. Et encore, c’est sans compter sur les jurisprudences dans tous les cas de figure qui confirment ou infirment la règle. Ben oui, faudrait que la racaille qui veut arnaquer les gens, se mette au courant des lois.

Et malgré les dénégations de la blonde-ass, genre « je viens de Paris, ça fait deux semaines que je suis là et je n’ai jamais vu ça » ; ben va falloir qu’elle se fasse au midi la cocotte parigote. Si elle veut chouiner et jouer sa railleuse, elle est mal partie avec des types comme moi.

Bref, non seulement déjà le démarchage est interdit, et voilà qu’elle se la joue menaces et Cie., tél aux flics, etc.; je rêve. Ses employeurs apprécieront.

Je ne vais pas donner le nom de sa boite, mais j’adresse une mise en garde aux habitants de la résidence. Faites attention aux représentants, car ils se présentent pour des soi-disant contrôles, alors que ce ne sont que des démarcheurs qui veulent placer leur produit.

Vous trouverez ci-dessous les mises en garde concernant ce genre de boites qui ne veulent que vous faire prendre des abonnements dont vous n’avez pas besoin, et qui vont souvent à l'encontre de vos intérêts.

Et n’oubliez pas surtout, que vous avez un droit de rétractation.

EXTRAITS de : Démarchage abusif / à domicile fournisseurs énergie : recours
  • L'essentiel
  • Des démarcheurs en porte-à-porte sillonnent la France pour faire gagner aux fournisseurs d'énergie de nouveaux clients. La plupart d'entre eux sont des professionnels honnêtes qui expliquent leurs offres en détail aux consommateurs pour les convaincre de signer leurs contrats. Toutefois, on recense de nombreux cas de démarchage abusif où le démarcheur se fait passer pour un technicien des gestionnaires de réseau Enedis ou GRDF, ou emploie d'autres ruses pour entrer dans les logements de ses prospects.
  • Les fournisseurs Engie et Eni ont souvent fait parler d'eux ces dernières années pour leur recours à ce type de pratique. Devant cette mauvaise publicité, ils ont accentué les contrôles sur leurs prestataires mais on remarque encore une hausse des litiges en 2019.
  • Le démarchage téléphonique se développe également, même s'il est plus facile à contrecarrer.
  • Le Médiateur de l'Energie a proposé plusieurs mesures afin d'encadrer strictement le démarchage à domicile.
  • Quoi qu'il arrive, mieux vaut ne pas céder au démarchage. Pourquoi ? Parce que votre interlocuteur veut vous convaincre des avantages d'une seule offre, rarement la plus compétitive du marché car... les coûts de démarchage sont très élevés et doivent être amortis par un prix du kWh élevé ! Le plus sûr pour choisir son fournisseur d'énergie est de comparer les prix soi-même selon son profil de consommation. Si on préfère être guidé, le mieux est probablement de participer à un achat groupé d'énergie, qui se déroule en 3 étapes :
    1. Le consommateur se préinscrit gratuitement et sans engagement ;
    2. Après avoir réuni plusieurs milliers de ménages préinscrits, l'organisateur envoie un appel d'offres à tous les fournisseurs d'énergie du marché pour négocier un tarif de groupe ;
    3. Le consommateur reçoit l'offre négociée par email avec une estimation de ses économies, il peut alors prendre le temps de l'étudier et d'y souscrire, ou simplement d'y renoncer.

Démarchage : de quels fournisseurs faut-il se méfier ?

La majorité des fournisseurs d'énergie n'ont pas tous recours à ces pratiques malhonnêtes et frauduleuses. Certains sortent néanmoins du lot lorsque l'on se penche sur les forums des associations de consommateurs, où les plaintes et les alertes se multiplient.

Force est de constater que les nombreux litiges pourraient considérablement baisser si les fournisseurs concernés mettaient l'accent sur les réclamations des clients en capitalisant dessus davantage.

Le rapport du Médiateur de l'énergie est consultable en ligne.

Logo Iberdrola

Démarchage Iberdrola

Le fournisseur d'énergie originaire de la péninsule ibérique, est confronté à plusieurs lourdes accusations en matière de démarchage et pratique commerciale frauduleuse. D'après la déclaration de plus d'une cinquantaine de victimes en 2019, certains commerciaux prestataires d'Iberdrola auraient effectués des signatures de conclusion de contrat à la place des consommateurs.

Cette pratique a été formellement condamnée par la firme espagnole, qui a naturellement contesté ce type de pratique.

LES LITIGES RELEVES PAR LE MEDIATEUR EN 2019

  • 6% des litiges liés au démarchage abusif concernent Iberdrola

Logo Eni

Démarchage ENI

Etant dans le viseur du Médiateur de l'Energie pour cause de nombreux litiges, le fournisseur italien s'est également fait remarqué pour ses démarchages abusifs. Très critiqué aussi sur les pages d'avis ENI sur internet via les forums d'association de consommateurs et les réseaux sociaux, ENI et Engie se démarquent en ayant des pratiques commerciales douteuses (source : Le Point). Se faisant passer pour des employés de GDF (ancien nom d'Engie) ou EDF, ses commerciaux demandent à voir une facture, le contrat en cours ou expliquent vouloir effectuer un relevé de compteur pour s'assurer que tout est en règle. Armés d'un discours difficilement compréhensible pour les particuliers peu informés et mélangeant différents thèmes et sujets, les démarcheurs parviennent ainsi à faire signer sur le pas de porte des contrats de changement de fournisseur d'énergie qui ne ressemblent qu'à de vulgaires avis de passage.

Pour sa défense, ENI dit "dérémunérer" tout contrat s'avérant litigieux et dénoncé par un client, de façon à démotiver les commerciaux malhonnêtes à perpétuer de telles pratiques.

Malgré les multiples dénonciations de la part du Médiateur National de l'Energie, certaines pratiques commerciales d'Eni (erreur de facturation et démarchage abusif) sont toujours d'actualité. D'après le Médiateur National de l'énergie, Olivier Challan Belval, Eni demeure actuellement le fournisseur ayant le plus haut taux de litiges proportionnellement par rapport au nombre de clients (Source : Le Monde de l'Energie). Il faut tout de même préciser que tous les litiges ne sont pas liés au démarchage abusif.

CHIFFRES D'APRES LE MEDIATEUR DE l'ENERGIE EN 2019

  • Eni a reçu une amende de 315 000€ pour non-respect du droit de rétractation (de la part de la DGCCRF) ;
  • Taux de 329 litiges sur 100 000 (presque 5 fois plus que la moyenne des fournisseurs) ;
  • 40% des plaintes liées à Eni concernent des problèmes de facturation.

Logo Engie

Démarchage Engie

De très nombreux articles et avis négatifs sur Engie ont vu le jour sur internet depuis 2016 pour dénoncer les démarchages abusifs d'Engie. Mis en cause, le système de management et de rémunération des commerciaux et des démarcheurs serait la raison principale de ces pratiques parfois illicites. En effet, la rémunération de ces derniers est directement liée au nombre de contrats signés par les clients. Sur les forums des associations de consommateurs, les témoignages et avertissements font légion :

  • Usurpation d'identité ;
  • Allusion à une fusion de différents fournisseurs ;
  • Demande de consultation des factures ;
  • Mensonges quant aux modifications tarifaires liés à Linky ;
  • Mensonges quant à des partenariats ou à des tarifs préférentiels ;
  • Ruptures de contrats forcées. 

Ses commerciaux jouent sur tous les fronts pour gagner de nouveaux clients. Parmi les pratiques les plus dénoncées sur internet, de très nombreux internautes rapportent qu'un commercial ou un démarcheur leur a assuré qu'Engie avait racheté EDF et que leur contrat allait donc évoluer et être mis à jour. Pour rappel, Engie est le nouveau nom du groupe GDF-Suez, bien distinct d'EDF donc.

Parfois, le mensonge va encore plus loin, comme en témoignent certains particuliers, victimes d'un discours trompeur et menteur. Un démarcheur leur a ainsi assuré qu'EDF ne s'occupait plus des contrats des particuliers et qu'ENGIE prenait le relais, exigeant ainsi de voir les factures des clients victimes de changement de contrat une fois la référence copiée par le démarcheur en question. Des retours de consommateurs dupés indiquent même que dans certains cas, des commerciaux faisant du porte à porte les ont forcé à signer, précisant clairement que cette signature n'était qu'une étape naturelle de la suppression des tarifs réglementés quand il s'agissait en fait d'un contrat de vente visant à changer le fournisseur d'énergie du client ciblé.

Pour se défendre, ENGIE a indiqué avoir systématiquement rappelé les clients ayant signé un acte de vente pour avoir une confirmation de leur engagement et précise rappeler à l'ordre ses commerciaux et prestataires extérieurs qui auraient recours à des pratiques moralement incorrectes. De leur côté, les consommateurs et particuliers abusés révèlent que ces appels téléphoniques de confirmation n'ont pas toujours lieu et qu'ils découvrent la supercherie d'eux-même une fois le nouveau contrat entré en vigueur et que les factures commencent à arriver.

LE RAPPORT DU MEDIATEUR SUR ENGIE EN 2019

  • Taux de 96 litiges sur 100 000 (le plus important après Eni) ;
  • 358 plaintes de clients liées au démarchage abusif d'Engie ;
  • Un total de 892 500€ d'amende attribué par la DGCCRF du fait de ses pratiques commerciales douteuses (démarchage) ;
  • Engie a présenté un rapport pour encadrer ses pratiques de démarchage à domicile, affaire à suivre pour 2020.

Logo Sowee

Sowee démarchage

Certains journaux à travers des articles ou encore certains consommateurs à travers leurs avis sur Sowee dénoncent les pratiques abusives des démarcheurs du fournisseur. À chaque fois cela semble être le même scénario : les commerciaux (souvent deux) se rendent au domicile de l'utilisateur et se présentent comme des agents EDF. Or, c'est un mensonge puisque Sowee est une filiale du groupe EDF. En aucun cas Sowee est EDF, ceux sont bien deux fournisseurs distincts. En effet, un client qui souscrit chez Sowee n'est plus client EDF.

Les commerciaux évoquent plusieurs raisons pour expliquer leur venue. Parmi les plus fréquentes, on retrouve :

  • Deuxième visite suite à leur absence la première fois ;
  • Nécessité de faire un point sur la consommation en électricité du logement ;
  • Vérification du prix du kWh qui pourrait être eronné et ne pas correspondre au tarif réglementé ;
  • Un geste pour éviter au ménage de subir la hausse des tarifs de l'électricité ;
  • Une campagne d'EDF en réponse à la perte de nombreux clients souscrivant chez des fournisseurs alternatifs, etc.

Les démarcheurs Sowee cherchent à accéder aux factures du foyer afin d'accéder aux informations nécessaires à la souscription d'un nouveau contrat puis insistent pour obtenir l'IBAN du client en évoquant plusieurs raisons comme, par exemple, le besoin de vérifier que le client n'est pas en situation d'impayés. Il est important de noter que EDF lui-même ne démarche pas à domicile.

Il arrive parfois que les démarcheurs se présentent comme appartenant effectivement à Sowee. Dans ce cas, le procédé consiste à demander au client quel est leur fournisseur pour ensuite le dénigrer. Les agents Sowee promettent alors au client de réaliser des économies, ce qui n'est pas toujours le cas.

Les nombreux commentaires accusant Sowee de démarchage abusif sont assez récents et cela pourrait expliquer que la filiale d'EDF n'apparaisse pas dans le rapport du Médiateur datant de 2019.

Un bilan dénonciateur

Le médiateur de l'énergie observe que durant l'année 2019, les litiges entre les fournisseurs d'énergie et les consommateurs n'ont pas baissé en raison de démarchages abusifs flagrants.

Dans une perspective des tarifs réglementés du gaz naturel qui ne doivent plus être commercialisés en 2023, le médiateur craint que suite à cet événement, les fournisseurs profitent de cette occasion pour abuser de la confiance des consommateurs. La solution envisagée est donc d'encadrer de manière plus stricte le démarchage des fournisseurs d'énergie en interdisant notamment la signature du consommateur le jour-même pour qu'il puisse avoir le temps de réflexion et le recul nécessaire pour finaliser sa souscription.

  • Les chiffres du démarchage dans l'énergie en France en 2019
  • 61% des Français démarchés sur le territoire (contre 56% en 2018) ;
  • 46 % de sollicitations de la part des fournisseurs concurrents (contre 38% en 2018) ;
  • 61% des consommateurs ont étés démarchés pour réaliser des travaux d'isolation thermique ;
  • 75% des sollicitations des démarchages pour la fourniture d'énergie se font par téléphone ;
  • 29% de démarchage à domicile (augmentation de 22%).

Le médiateur National de L'Energie souhaite en finir avec le démarchage abusif

D'après une tribune, le Médiateur national de l'énergie, Olivier Challan Belval, estime qu'il faut interdire le démarchage à domicile pour les offres d'énergie car il engendre bon nombre de problèmes pour les consommateurs.

Ce choix est d'autant plus justifié en raison de la fin prochaine des tarifs réglementés d'Engie en 2023 et qu'il existe encore 4 millions de clients abonnés à cette offre.

Le constat est clair, il y'a eu, en l'espace d'un an, une augmentation de 5% du démarchage commercial par téléphone et à domicile. Près d'un tiers de ces personnes ont connus un démarchage à domicile.

Article complet en lien ci-dessous :
https://selectra.info/energie/guides/conso/demarchage-abusif

 

Partager cet article
Repost0
1 juin 2021 2 01 /06 /juin /2021 23:45

Samedi soir, certains s’amusaient avec des lampes torches à éclairer les bâtiments de la résidence. Des minots sans doute, se baladant dans les coursives. Pour savoir de quoi il retournait, j’ai été à ma fenêtre et, après avoir pris quelques photos j’ai crié s’ils pouvaient arrêter leurs conneries à faire mumuse avec leurs lampes.

C’est là que j’ai entendu une voix féminine qui m’a répondu genre «il faut arrêter l’alcool». Je me suis alors demandé si Schiappa ne s’était pas égarée à Pontcarral. Nannnn ! Ce n’était même pas des minots de 12/15 ans qui s’amusaient, car c’était apparemment une fliquette qui m’avait répondu. C’est vrai que vu le niveau, j’aurais dû m’en rendre compte ... une fliquette qui recycle du Schiappa comme Youssoupha recycle Woody Allen ...^^ Pathétique.

J’aurais dû savoir aussi que c’était la police, vu que la résidence était tranquille ce soir là. Puisque quand c’est le bordel, ils ne sont pas là pour intervenir.

Une soirée de chasse au Dahu de plus, à ajouter à la liste des «interventions» qui vont grossir la justification de nos impôts.

 

 

Partager cet article
Repost0
15 juin 2019 6 15 /06 /juin /2019 11:41
Il y a quelques temps, le conseil syndical donnait - provisoirement - l’autorisation aux responsables du centre cultuel, de pouvoir fermer le terrain attenant au centre, le temps du ramadan. Pas de problème. Hors, ceux qui ne les connaissent pas, ont été étonnés que le terrain reste fermé après la fin du ramadan. Ben oui les gars, vous leur donnez un doigt et ils vous bouffent le bras les bougres.

 

Et le dernier conseil syndical, même expurgé de deux vieux francaouis tombés en dhimmitude, n’a pas l’air d’avoir prise sur cette engeance. Malgré les lettres adressées à la mairie, propriétaire du centre « cultuel et culturel », les responsables de celui-ci n’ont pas l’air de vouloir remettre l’accès aux véhicules. Et alors bon sang; mais que comptent-ils faire de ce bout de terrain ? Un terrain pour jouer aux boules ? Un lieu de lapidation ?

 

 

 

Il est vrai que cette dernière solution est légèrement excessive, mais dans les têtes malades de certains, nous n'en sommes pas loin. Suivant l'expression qui dit qu'il "vaut mieux avoir un petit chez soi qu'un grand chez les autres", certains "djihadistes en herbe" (1) de Pontcarral rêvent de faire de la résidence un petit califat, grâce à l’inertie de la mairie de Toulon. Barbes longues ( non pas tous ) et idées courtes, ils ne sont que quelques-uns dans la résidence. Pas nombreux mais bien assez pour faire chier le monde, tels sont les islamistes de Pontcarral.

Comme dans le film Timbuktu,* peut-être pensent-ils imposer leur charia ? Et quoi aussi ! ?

* « Au Mali, des islamistes envahissent la ville de Tombouctou et y imposent la charia. Ils bannissent la musique, le football, les cigarettes, procèdent à des mariages forcés, persécutent les femmes et improvisent des tribunaux qui rendent des sentences injustes et absurdes. Malgré la férocité de leur répression, la population résiste avec courage, souvent au nom d'une autre conception de l'islam. »

J’en connais beaucoup qui feraient la gueule.

« Pour le journal "Le Monde", l'intelligence du film est de ne pas diaboliser les bourreaux, mais de les remettre à leur place d'hommes, «grotesques, sinistres et hypocrites» »

 

 

 

C’est vrai qu’en attendant ils avancent sournoisement. Remarquez, pourquoi n’en profiteraient-ils pas ? Car la mairie s’en fout maintenant. Le centre cultuel à été à l’époque donné par la mairie afin d’avoir une paix sociale et des promesses de votes. Ce qui a été fait. Maintenant vu le faible nombre de voix récoltées, la mairie n’en a plus rien à faire de Pontcarral. Non seulement ils ont fermé le local destiné à la population, notamment aux jeunes, mais tout l’argent du contrat de ville qui devait depuis des années aller officiellement à la résidence, à été détourné pour les autres cités; comme par exemple La Beaucaire … et peut-être dans la poche de quelques-uns; mais là, personne ne veut creuser pour savoir qui en sont les bénéficiaires.

 

 

Bref, à Pontcarral, on se croirait parfois – toutes proportions gardées hein, quand même – en Palestine occupée. Sauf que dans ce cas, c’est l’islamiste Pontcarralien qui est dans le rôle du colon juif des territoires occupés qui grignote petit à petit des morceaux de terrain, jour après jour. Ces jours-ci, hop, un bout de terrain.

Dire qu’il y en a qui s’inquiétaient lors du récent tournage de la série TV qui a eu lieu à Poncarral, de savoir si cela n’allait pas donner une mauvaise image de la résidence. On rêve là !

Comme il est loin le temps où la résidence avait un semblant d’accalmie.

C’était dans les années 90/2000; à l’époque, il régnait à Pontcarral une ambiance plus sereine, ou tout le monde, juifs, chrétiens et musulmans pouvaient cohabiter en harmonie. Sans faire de prosélytisme pour quelque religion que ce soit, je ne fais d’ailleurs pas « partie du livre », je regrette cette période ou la mesquinerie n’avait pas de prise sur les mentalités comme aujourd’hui, et où les religieux s’occupaient de religion et des autres, et ne s’occupaient pas de politique.

Certains qui ont connu sœur Louisette ont oublié le respect et la bienveillance qui était de mise à l'époque à Pontcarral. Les imams d'alors étaient plus respectueux et l'on pouvait parler d'Islam sans tomber dans l'islamisme.

 

Je rappellerai seulement aux anciens un extrait d’article du journal La Croix ( non, pas la mienne; la mienne est celtique ) du 07/12/2005 :

 

« La Semaine de rencontres islamo-chrétiennes s'est déroulée du 19 au 27 novembre dans une quarantaine de villes, en France et en Europe

Louisette, salésienne de Don Bosco, habitait depuis vingt ans la cité Pontcarral, à Toulon (Var). Elle était très engagée dans l'association de quartier de l'Escaillon. Des heures à partager les joies, à réparer les injustices et à apaiser les détresses. Le mardi 22 novembre, 12 jeunes musulmans ont porté son cercueil jusqu'à l'église Sainte-Roseline. «Tu as fait de nous des hommes, des croyants», témoignait l'un d'entre eux au cours de la célébration. L'événement de la mort de Sœur Louisette a marqué la Semaine de rencontres islamo-chrétiennes organisée pour la première fois à Toulon. »

 Mais ça, c’était avant …

 

Les musulmans de Pontcarral n'ont vraiment pas de chance de n’avoir pour imams ces dernières années, que des islamistes intégristes.

Bref, c’est comme l’on disait de certains curés, ils prêchent le « faites ce que je dits, ne faites pas ce que je fais »; à l’instar d’un ancien imam que j’ai vu à l’œuvre il y a quelques années – à l’époque dans son rôle de jardinier – ;-), assez haineux au point de nous avoir menacés de mort, ma femme et moi. Ah, quelle belle religion d’amour et de paix professent-ils.

Ils ont réussi à confisquer l’islam pour LEURS intérêts.

 

Depuis une vingtaine d’années, nous avons vu dans l’actualité les méfaits de cette engeance, et les résultats néfastes de cette idéologie totalitaire sur toutes sortes de populations, à commencer par les musulmans eux-mêmes qui en sont les premières victimes.

 

 

Cette mentalité rétrograde qui à semé le bordel partout dans le monde ( Libye, Syrie, etc … ), a été soutenue par les gouvernements français, américains et autres qui s’en sont servis comme idiots utiles et s’en débarrassent ( ou pas ) par la suite. (2)

 Malgré tout, la résistance à l'arabisation ne fléchit pas, comme nous le montre encore à l’heure actuelle de nombreux peuples, notamment les berbères.

 

(1) Il est en effet plus facile de vouloir plastronner à Pontcarral qu'en Syrie. Surtout quand l'on voit que les apprentis djihadistes après avoir fait les beaux là-bas, reviennent la queue entre les jambes, se réfugier et se cacher sous les jupes de la république française, préférant le confort de la justice, les allocations familiales et le RSA que leur offrent ces vilains mécréants, au lieu du paradis promis dans l'au-delà.

 

(2) Sur son site "LA CAUSE DU PEUPLE", et sa page "Contribution à la lutte contre les deux Armes de Destruction Massive (ADM) de l'Impérialisme : l'islamisme et le sionisme", Hannibal Genséric nous en offre de bons aperçus ci-dessous : ( Extrait de "Arabisation du Maghreb : qu'en est-il au juste ?" )

"Mille ans après, de nouvelles invasions barbares submergent le Maghreb. Au prix de centaines de milliers de morts, l’Algérie a pu y résister. Dignes héritiers de ces hordes bédouines arabes, les islamistes mettent des pays maghrébins (Tunisie, Libye) en coupe réglée, aidés en cela par les esclavagistes arabes du Golfe, sous la protection de l’Axe du Mal Washington / Tel-Aviv. En Tunisie, les villes côtières, autrefois prospères, se clochardisent de plus en plus. Le touriste se fait rare. L'économie périclite. L’insécurité, le vol à la tire ou sous la menace d’armes blanches, les agressions de type maffieux y sont quotidiens, sous l’œil goguenard d'une police amorphe, voire complice. La saleté et les détritus de toute nature jonchent le sol. Les régions à l'origine de la pseudo révolution (en réalité, un coup d'état islamiste, ourdi avec la CIA) sont encore plus à l'abandon que sous le précédent régime. C’est sur cette accumulation de misère et d’immondices que l’islamisme prospère ; car être islamiste aujourd’hui, c’est avoir le statut de l’ hilalien* d’antan."  

Entre propagande et réalité

 

* Les Hilaliens étaient une confédération de tribus d'Arabie des régions de Hejaz et Najd ayant migré en Afrique du Nord entre la fin du Xe au XIIIe siècle.

 

( Ci-dessous extrait de "Génétiquement, les Maghrébins ne sont pas des Arabes" )

« Par ailleurs, le plus grand historien maghrébin, Ibn Khaldoun, l’a énoncé et démontré : les Maghrébins ne sont pas des Arabes, ce sont des Berbères « arabisés » (mousta’araboune مستعربون  ).

Historiquement et de tout temps, la culture arabe a toujours nettement distingué les Arabes (considérés comme la race supérieure, celle qui doit, de droit divin, détenir pouvoir et richesse) des non Arabes (les sujets de seconde zone, les peuples dominés). Ceux-ci sont appelés ‘Ajam, عجم , c’est-à-dire des non arabes, « des étrangers », comme l’étaient les « barbares » pour les Grecs ou les Romains. Les ‘Ajam regroupaient les Perses, les Roums (Byzantins), les Turcs, les Berbères etc. tous les peuples soumis par les armes, même s’ils se sont islamisés. Se déclarer musulman permettait alors d’échapper à l’impôt (assez lourd) que devait payer tout sujet non musulman. Cet impôt constituait alors le principal revenu relativement stable de l’empire arabe. Donc, même pour ceux qui ont opté pour la culture et la religion arabes, ils restent, aux yeux des Arabes de souche, des « non Arabes ». C’est toujours le cas aujourd’hui : les Arabes du Golfe considèrent toujours les Maghrébins avec une certaine condescendance, ils les traitent comme des «Arabes de seconde catégorie ». Comme, en plus, ce sont eux qui disposent aujourd’hui de la manne des pétrodollars, leur morgue et leur mépris pour les Maghrébins et pour les autres non-arabes sont sans limite. »

 

 Statue d'Ibn Khaldoun à Tunis

 

Allez, un peu d’humour

pour dérider ceux qui seront coincés

par la lecture de l’article :

 

 

 

Partager cet article
Repost0
1 juin 2019 6 01 /06 /juin /2019 16:38

 

 

 

 

"Action !" ... La bonne humeur et le professionnalisme étaient de mise ce vendredi 24 mai à Pontcarral. L'effervescence s'est emparée de quelques résidents quand l'équipe de tournage de la société de production Escazal Films est venue faire quelques prises de vues pour une nouvelle série télévisée pour M6.

Entre autres réussites, la société de production Escazal Films avait déjà créé en 2008 pour France 2, la série «Les Petits Meurtres d’Agatha Christie» qui a rencontré un beau succès sur le petit écran.

 

 

 

Cette série, qui devrait s'intituler "Ils étaient 10", est une adaptation contemporaine du roman policier "Dix petits nègres" d'Agatha Christie, et devrait compter six épisodes de 52 minutes. Son tournage, déjà commencé en Guadeloupe, s'est poursuivi dans notre région.

 

À la distribution, nous retrouverons Samuel Le Bihan, Guillaume de Tonquédec, Marianne Denicourt, Romane Bohringer, Patrick Mille, Matilda Lutz, Nassim SI Ahmed, Manon Azem, Sami Seghir et Isabelle Candelier; ainsi que ... quelques figurants de la résidence Pontcarral.

 

   

 

 

Partager cet article
Repost0
4 juin 2015 4 04 /06 /juin /2015 18:01
Après m’avoir contacté sur différents sujets concernant la copropriété, deux « jeunes » ( dont apparemment un des deux fait partie du Conseil Syndical actuel ) qui voulaient tout changer, tout réformer, mettre les «racailles» au pas ( police aidant évidemment, mais sans avoir encore compris que justement c'est la police qui contrôle les responsables des racailles en question ), partir en guerre contre ceux qui réparaient personnellement leurs voitures, le travail au noir, etc. etc. etc.,  ... n’ont plus donné de signe de vie.
Je n'ai pu que constater qu'une fois de plus on avait à faire à des grandes bouches et des petits bras. Et pour cause. Malgré certains points positifs, j’ai eu le malheur de m’interroger sur l’intérêt de l’installation d’une chaine devant le centre cultuel. Après vérification, surtout après insistance, j’eus la confirmation que c’était l’emplacement « réservé » à l’imam. Pardooonn ? Réservééééé ? ? ?
 
Assemblée générale 2015 : grandes gueules et petites manœuvresAssemblée générale 2015 : grandes gueules et petites manœuvres

Il y a, à Pontcarral, 140 garages et 216 places de parking. Une capacité de 356 places pour 315 appartements. Malgré cela, il est vrai qu’il y a parfois plusieurs voitures par famille, et c’est pour cela que l’on a du mal à se garer. Au fil des années, certain(e)s avaient demandé au moins une place par appartement pour ceux qui n’avaient pas de garage ; en vain. Pire, sur les 216 places de parking en question, il n’y a AUCUNE place pour les handicapés ; et certains prétendraient s’arroger le droit d’avoir une place pour eux seuls ?

Assemblée générale 2015 : grandes gueules et petites manœuvres
Donc l’élu d’une partie de « la communauté », communauté qui est une partie de Pontcarral, aurait la prétention d’avoir une place réservée. Non mais j’hallucine, je rêve ! Mais qui c’est ce mec ? Pour qui se prend-il ? Il se croit chez lui, à l’instar des petites racailles dégénérées et racistes qui prétendent être chez eux plus que n'importe qui et que l’on n’aurait pas droit à la parole ? Mais coco, on n’est pas chez mémé ici ! On n’est pas non plus au bled ! Quoi qu'au bled, ils ne la ramènent pas.
 
On a déjà connu çà à Pontcarral il y a quelques années : abus de pouvoir, copinages et passe-droits. L’imam qui sévissait à l’époque a été viré car les musulmans ne supportaient plus ses magouilles et ses caprices.
 
Il devrait pourtant être le premier à montrer l’exemple : « L’humilité, la modestie, le contrôle des passions et des désirs (…) sont des valeurs morales, soulignées sans cesse dans le Coran. »
 
J’ai habité un an à Pontcarral en 1978; depuis que j’y habite à nouveau depuis vingt ans, je n’avais encore jamais rencontré une telle arrogance et de tels caprices. Les anciens avaient du respect et jamais il n’y avait de problèmes.
Mais j’ai l’impression depuis une dizaine d’années, que le fait d’être imam à Pontcarral cela monte le bourrichon de certains. Peut-être un manque de sagesse et de maturité. Ce n’est pas tout de connaitre le coran ; encore faut-il ne pas le lire de gauche à droite.
 
Pour ce qui est de l’assemblée générale en question, il est étonnant de voir que la volonté affichée par certains ( dont je pense que la moitié … donc 1 sur les 2 ;-) est vraiment désintéressée ) soit bloquée sur une simple anecdote que celle du centre cultuel. Si, sur tous les problèmes abordés concernant Pontcarral, cette question constitue une pierre d’achoppement sur le devenir de la résidence, c’est vraiment grave.
Assemblée générale 2015 : grandes gueules et petites manœuvres
Quoi qu'il en soit, pour ce qui est de la demande de proposition d'achat du bâtiment D ( parcelle DM 170 ), il ne devrait pas y avoir de problème si tout est en ordre, et si ce n'est pas non plus ... une proposition en l'air.
 
Les preuves de bonne volonté de changement, seraient que ceux qui ont été au Conseil Syndical depuis des années, rendent des comptes sur ce qu'ils ont fait, comme par exemple :
 
- Pourquoi n'ont-ils pas porté plainte contre Sycologe ?
- Quels intérêts avaient-ils à virer le syndic Sycologe au lieu de porter plainte contre, en demandant des comptes, si ce n'est pour cacher leurs magouilles ?
- Pourquoi n'ont-ils jamais réclamé ce que la mairie doit à la résidence ?
 
Leurs manigances ont coûté des milliers d'euros à Pontcarral. Ce sont les mêmes qui veulent que les habitants restent dans l'ignorance, la crasse et le dénuement. Et ce sont les mêmes qui prétendent encore diriger Pontcarral ?
Assemblée générale 2015 : grandes gueules et petites manœuvres

Le problème de l'actuel Conseil Syndical, est qu'il est dans son ensemble incapable, avec 14 personnes, de travailler sans se passer du Syndic. Heureusement que celui-ci, le dernier en date, a l'air de se bouger et n'a pas l'air d'être là que pour ramasser de l'argent. Il y a à Pontcarral, une nouvelle volonté de ce Syndic et d'une ou deux personnes dont le président, de faire quelque chose de positif. Et si le futur Conseil Syndical était composé de personnes sinon compétentes, mais au moins motivées, réfléchies et prêtes à écouter différents avis et réagir sans aucun intérêt personnel, sans aucune contrainte religieuse ou/et politique, ce serait déjà énorme.

Ceux et celles qui pleurnichent sur le fait qu'il y a une élite à Pontcarral, sans doute en prenant exemple sur deux vieux comiques qui ont se(r)vi en tant que "couple de présidents", me font me tordre de rire. Si certain(e)s considèrent ceux-ci comme étant une élite, c'est vraiment ne pas avoir une bonne opinion de soi-même. Mais il est vrai que quand l'on se sent piégé par une mentalité généralisée, et que l'on s'en plaint sans rien faire, on ne peut pas se plaindre non plus du fait que cette même mentalité mette les femmes à l'écart. Et j'en suis le premier désolé, car l'apport de regard féminins sur le devenir de la propriété ferait baisser le taux de testostérone de la majorité du Conseil Syndical, qui ne sont là que pour se prouver quelque chose, et ne se rendent pas compte qu'ils ne sont pas des cadors, mais de pathétiques bouffons.

Droit de parole pour tous et toutes !

Droit de parole pour tous et toutes !

Pour ce qui est des questions à se poser, il faudrait :

- Savoir dans le compte-rendu du Conseil Syndical ce que les membres ont fait pendant leur mandat de l'année écoulée. En effet, comment voter pour des personnes sans se rendre-compte qu'ils ont fait du bon boulot ou pas ?

- Que les personnes qui postulent à l'élection du Conseil Syndical se présentent, et disent ce qu'ils veulent et peuvent apporter à Pontcarral, dans l'intérêt de tous les habitants.

- La proposition d'achat de la parcelle DM 170 n'étant pas en annexe, il serait bien que le document de cette offre soit distribué à l'assemblée. En effet, beaucoup ne savent pas de quoi il retourne. 

- Sur les questions diverses sur "l'information" concernant la fermeture de la copropriété, comment vont-ils pouvoir "fermer" Pontcarral ? Comment circuleront les livreurs, les pompiers, les ambulanciers ? Et aussi, si une indemnité de servitude a été payée par RTE 30 000 euros, cela sous-entend que la route appartient à Pontcarral ( voir cadastre ), donc, la police ne peut pas mettre des PV.

- Il serait bon de connaître le montant total du devis "DELTA CLOTURE", comme le nombre de poteaux, le nombre de fixations, la longueur de le grille, etc. Bref, des détails et le coût global, autre que le simple coût au M2 et les détails unitaires.

- Faire remonter l'idée judicieuse de Monsieur BEN AISSA ( Mustapha ), concernant les amendes pour dégradations et autres incivilités, qui consisterait à les faire payer sur les charges.

- Faire en sorte que les travaux des membres du Conseil Syndical soient connus des habitants de Pontcarral afin de savoir qui a fait quoi, et qui n'est là que pour la galerie et pour se faire mousser. On n'a pas besoin de baratineurs qui importunent le fondement des mouches en vol.

 

"Qui veut faire quelque chose trouve un moyen. Qui ne veut rien faire trouve une excuse." proverbe arabe

Assemblée générale 2015 : grandes gueules et petites manœuvres
Partager cet article
Repost0